Labgruppen versus SET 211
#51
RE: Labgruppen versus SET 211
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L'abus de multi-pseudos est dangereux pour la santé mentale, ... N'est-ce pas Tony Big Grin 
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#52
RE: Labgruppen versus SET 211
nxx a écrit :
jimbee a écrit :L'ampli idéal a une grosse distorsion, relativement, qui est exactement égale à la distorsion du hp qu'il alimente, mais à l'envers.
Ça, c'est bien plus malin, Et visiblement l'étape suivante, en quelque sorte ... Wink

Il me semble avoir lu un article très sérieux à ce sujet. Il me faudra le retrouver et le partager.
Merci Anaël...si tu as des documents référencés pour nous sortir de notre obscurantisme "pré-moderne"...je suis preneur...(avec gants et masque ! Wink)
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#53
RE: Labgruppen versus SET 211
Dominique-Tanguy a écrit :Oui, il faudrait voir le haut de gamme de Lab, il semble qu'ils utilisent une autre classe d'amplification.

Bonjour Dominique,

ils l'appelle la classe TD. L'étage de puissance est un étage classe AB presque classique sauf que les tensions d'alimentations des transistors de puissance évoluent constamment avec le signal pour que la tension collecteur émetteur soit sensiblement constante. Ce sont des cascodes flottants à découpage.
Cela permet d'avoir les caractéristiques de la classe AB avec presque le rendement de la classe D.
En fait de classe AB elle tire plutôt vers la classe A. Je ne connais pas la valeur du courant de repos mais vu le principe et l'élévation de température au repos, possible qu'il soit de quelques ampères.

Je ne connais pas les amplis classe D de labgruppen et ne saurait dire comment ils se situent par rapport à leurs modèles plus haut de gamme. Par contre entre les productions actuelles et anciennes la différence est nette alors que le principe de fonctionnement est identique. Peut être ont ils changé de fournisseur de résistances?!

Joël
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#54
RE: Labgruppen versus SET 211
escartefigue33 a écrit :
françois/ EAR a écrit :Bonjour,
De ce qui ressort sur la classe "D", c'est qu'elle est "auditivement performante, voire excellente" dans le grave, mais sujette "à caution" dans le reste du spectre...

Bonjour,
La classe D fonctionne d'une manière optimale avec des sources numériques et pas autrement.
Si, par exemple, on fait une conversion A/D en amont, on perd tout l'intérêt de ce mode de fonctionnement.
De plus, un ampli classe D de 250W ne va pas fonctionner dans sa meilleure plage s'il doit délivrer 500mW sur un système HR, ilfaut s'attendre alors à une perte de définition dans le haut du spectre.

Les pros de la sono sont tous passés à la classe D et ne sont pas prêts à revenir en arrière, mais ils fonctionnent à des niveaux sonores bien plus élevés, et la classe D leur fournit des niveau dynamiques inaccessibles aux amplis analogiques.

Tout matériel fonctionne de manière optimale dans le mode d'utilisation pour lequel il a été étudié.

Cdt,
Gérard

Bonjour Gérard,

ce n'est pas si simple, les amplis classe en hifi un peu performants sont bien souvent a entrée analogique et avec une contre réaction.

En prenant en considération que les amplis classe D sont moins gros moins lourds qu'ils chauffent moins et qu'ils ne sont pas plus chers voir moins, il faut les comprendre les pros de la sono!
Après si tu regardes les catalogues des fabricants, tous les modèles disponibles ne sont pas des classe D. Peut être pas sans raison ???

Joël
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#55
RE: Labgruppen versus SET 211
forr a écrit :Cette distorsion mémo-thermique est difficile à mettre en évidence par des mesures. Je n'ai pas lu de comptes rendus d'expériences qui la démontrent sur un grand nombre d'appareils.

Bonjour,

ce qui ne facilite pas les choses, bien au contraire!
Appréhender et caractériser avec des mesures serait d'une aide énorme. Pour cela il faudrait inventer un type de mesures plus proches de la perception auditive. Les procédés basés sur la transformée de Fourier qui ne sait faire la différence entre une impulsion et un bruit blanc ne font visiblement pas l'affaire.
En attendant reste l'oreille!

Joël
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#56
RE: Labgruppen versus SET 211
Disons que l'audiophile a un sixième sens pour inverser les priorités...

A mon avis, on devrais, peu ou prou faire :

1 - Choix de la pièce d'écoute (principalement les dimensions)
2 - Aménagements acoustiques de la pièce d'écoute
3 - Choix des enceintes adaptées à la pièce d'écoute.
4 - Choix du filtrage, actif/passif, etc...
5 - Choix des (du) amplificateurs adaptés à la pièce d'écoute écoute et aux enceintes.
....
....

....

8678 Choix des condensateurs de liaison de l'ampli N°x

...

11543 Choix des câbles ligne.


...

Quand je vois des gens inverser tout ça, et se focaliser sur deux capas ou un bout de fil.... je ne comprends pas.

A plus
André
Montagne : Denon DP6000, FR66S, SPU, AT OC9 RIAA LT1028, Luxman L-550Ax ou SE tubes 211 (C3g en driver) ou SE de WE VT52, Enc, Altec (GPA) 515-8C, TAD TD2001 4 cellules Ledauphin
Mer : M-Monitors MM1 (Audio Technology 155 mm + Tweeter Scan Speak Illuminator), ampli Musical Fidelity M3i, Dac Burr-Brown 1704, Lecture Oppo CD/DVD/BR. 
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#57
RE: Labgruppen versus SET 211
jsilvestre a écrit :ils l'appelle la classe TD. L'étage de puissance est un étage classe AB presque classique sauf que les tensions d'alimentations des transistors de puissance évoluent constamment avec le signal pour que la tension collecteur émetteur soit sensiblement constante. Ce sont des cascodes flottants à découpage.
L'alimentation flottante à découpage, très astucieux..
Est-ce ce qu'utilise le Benchmark AHB2 ?
Citation :Cela permet d'avoir les caractéristiques de la classe AB avec presque le rendement de la classe D.
En fait de classe AB elle tire plutôt vers la classe A. Je ne connais pas la valeur du courant de repos mais vu le principe et l'élévation de température au repos, possible qu'il soit de quelques ampères.
Le même Benchmark a un étage de sortie en Current Dumping avec correction d'erreur en classe A//B plutôt qu'en A//C comme son vaillant ancêtre, le Quad 405.
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#58
RE: Labgruppen versus SET 211
Bonjour Joël,

L'étage de puissance est un étage classe AB presque classique sauf que les tensions d'alimentations des transistors de puissance évoluent constamment avec le signal pour que la tension collecteur émetteur soit sensiblement constante. ... Cela permet d'avoir les caractéristiques de la classe AB avec presque le rendement de la classe D.

Un appareil de la fin des années 80 exploitait un fonctionnement assez proche en philosophie, le Carver M-4.0t. Etage de sortie en classe mixte G-H et primaire de transformateur d'alimentation piloté par un triac en commutation à angle de phase.
    375W / 8Ω

Jean-Marc.


Pièces jointes
.pdf   Carver-M-4.0t.pdf (Taille : 8,7 Mo / Téléchargements : 125)
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#59
RE: Labgruppen versus SET 211
AndréJ a écrit :Disons que l'audiophile a un sixième sens pour inverser les priorités...

A mon avis, on devrais, peu ou prou faire :

1 - Choix de la pièce d'écoute (principalement les dimensions)
2 - Aménagements acoustiques de la pièce d'écoute
3 - Choix des enceintes adaptées à la pièce d'écoute.
4 - Choix du filtrage, actif/passif, etc...
5 - Choix des (du) amplificateurs adaptés à la pièce d'écoute écoute et aux enceintes.
....
....

....

8678 Choix des condensateurs de liaison de l'ampli N°x

...

11543 Choix des câbles ligne.


...

Quand je vois des gens inverser tout ça, et se focaliser sur deux capas ou un bout de fil.... je ne comprends pas.

A plus
André

Bonjour André,

Pour l'instant, je respecte le #11543!

Sébastien
"Il y a dans le dialogue une forme d'ouverture de soi à l'autre, et réciproquement, qu'on ne trouve pas dans le débat et la discussion." -Dominique Garand

https://onken.info/
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#60
RE: Labgruppen versus SET 211
Si on suit la pyramide des besoins de Maslow, il est quand même logique de se loger et de manger avant d'ėcouter de la musique...

Une fois qu'on a un toit, on peut envisager d'ėcouter de la musique, et il faut donc s'accomoder des contraintes du local.
Cordialement,

Dominique T

http://unepassionaudiophile.fr/
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