.

[qui?]

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[Etmo]

Pour certains, ca va être difficile.

doublon ?

Pour Anael, je dirais presque 100 %

Je pensais aux compositeurs et a rien d'autre.

[dgil]

Maintenant que l'on sait que l'écoute en salle peu difficilement être comparable avec un enregistrement et servir de référence. La question de la courbe cible me semble le point à développer. Certain système de correction adapte la courbe cible en fonction de la proportion de champ direct champ diffus pour chaque octave. C'est quoi le principe appliqué?

A on n'a toujours pas parlé de la "courbe cible". ;O)

ben si on en parlait



Un exemple :

imposé par 2 TH et 2 Minuets en bi-amplification, réglé à l'oreille, pas de correction EQ ni phase du reste !! seul filtre actif sur les TH.



ça plait comme ça ......

[forr]

Maintenant, si l'auditeur se trouve tout près du chef d'orchestre, la perspective change, et c'est assez fabuleux. Cela m'est arrivé lors de répétitions avec Zubin Mehta. Une grande expérience. Difficile à reproduire électro-acoustiquement quels qu'en soient les moyens. Je ne crois pas qu'une enceinte par instrument y suffirait.

Cela pose plusieurs questions, amha.
Le compositeur a-t-il pensé et composé sa musique à destination du chef d'orchestre?

Le compositeur était Beethoven. Je ne vois qu'un musicien ou un musicologue à pouvoir répondre.

La pièce qui est jouée n'a-t-elle pas été écite pour être écoutée de la salle?

Même réponse que la précédente.
La "salle" était le théâtre antique d'Orange, en plein air donc. J'étais aussi présent à l'une des représentations publiques, à une place latérale mais assez bonne, l'impression était très différente de celle tout près du chef d'orchestre.

La place du chef d'orchestre n'est-elle pas un poste de travail plutôt qu'un lieu d'écoute? Son placement n'est-il pas prévu pour entendre plein de détails et mieux séparer chaque pupitres ou instruments, chose qui n'est sans doute pas souhaitable pour l'auditeur final, qui devrait plutôt entendre un ensemble?

Certainement.
Mais être au centre de l'orchestre donne une sensation de présence et de vie des instruments qui se perd un peu pour les spectateurs dans la salle. C'est la raison pour laquelle j'ai une certaine affection pour les "petits concerts" avec moins de cent spectateurs, on y est beaucoup plus proches des sources sonores et l'on en distingue mieux les subtilités.
Si je devais prétendre "avoir des références sur le son des instruments" (ce que je ne fais jamais), je ne suis pas trop mal placé.

[tonipe]

Bonjour

Si vous n'avez pas de "référence acoustique", comment réglez vous votre installation ?
Je suis le seul à avoir dit comment je faisait.
Il y a des avis qui critiquent ma façon de faire, il n'y a aucun avis qui propose une alternative à ma méthode.
Curieux débat à sens unique, comme d'habitude.

Cordialement, Dominique

[Etmo]

La distance et la taille de la salle doit avoir beaucoup d'importance. A Garnier et Bastille, je suis souvent dans les balcons donc plutôt en fond de salle et dans l'axe de la scène. Franchement le son est loin d'être parfait. Par contre, les rares fois ou je suis allé à la philharmonie de paris de Paris on entend que l'acoustique est vraiment dédier à la musique orchestrale. Quand on est au quatrième rang c'est autre chose. Pour un des concertos que nous avions écouté "Tout un mode lointain", le soliste était moins présent et moins détaché que sur les enregistrements que j'ai pu écouté avant. Mais l'émotion est tout autre. Ca montre à qu'elle point, il est difficile de comparé l'expériences du direct avec la prise son. Je trouve même cela stupide car ce n'est franchement pas la même manière de transmettre et d'écouter une oeuvre.

[Etmo]

Bonjour

Si vous n'avez pas de "référence acoustique", comment réglez vous votre installation ?
Je suis le seul à avoir dit comment je faisait.
Il y a des avis qui critiquent ma façon de faire, il n'y a aucun avis qui propose une alternative à ma méthode.
Curieux débat à sens unique, comme d'habitude.

Cordialement, Dominique

En utilisant des mesures repartis sur la zone d'écoute et en analysant la part du direct et du diffus comme le font la plupart des ingénieures en charge de l'égalisation d'une salle. Et si votre salle n'est pas traité ne vous attendez pas à des miracles.

Une bonne enceinte dans une salle dédier n'a pas besoin de beaucoup d'égalisation quand on est bien au dessus de la fréquence de Schroeder.

[qui?]

_

[Etmo]

Ça reste un challenge pour n'importe quel violoncelliste "d'envoyer" cette musique en salle en concert avec énergie sans être couvert par le grand orchestre ... ce qui est souvent non-décelable en version enregistrée. On ne joue pas de la même façon non plus en concert et en enregistrement, c'est un fait ! : )))

Oui l'instrument doit souffrir. Nous avons eu "la chance" d'entendre deux fois le premier mouvement. Un peu avant la fin une corde du soliste a cassé. Un bon quinze minutes d'entracte et deuxième version intégrale cette fois.

Le concerto était combiné avec le boléro de Ravel à la fin qui à été bissé aussi. Soit une bonne heures de plus au programme.

Un souvenir extraordinaire pour ma première à la philharmonie de Paris. Vivement la reprise.

[Etmo]

Juste souligner l'erreur de tonipe d'utiliser une courbe cible pour une égalisation sur une mesure faite en proximité :
justement, la courbe cible est attendue aux environs du point d'écoute de manière naturelle, les égalisations ajoutées éventuellement pour y parvenir y sont utilisées uniquement pour compenser une absorption salle qui serait non-régulière, où le traitement ne donnerait pas pile les résultats escomptés.
L'enceinte doit en théorie ne quasiment pas chuter en mesure de prox, 50, 82cm, 1m. La courbe cible utilisée doit être constatée au voisinage du PE. Donc pour obtenir celle-ci, les réglages à utiliser sur une mesure prox sont bien sûr différents.

Cordialement
.

J'ajouterais le lien vers le site de Francis qui résume plutôt bien les choses.

https://sites.google.com/site/francisaud...onse-cible

Pour DIRAC Live que j'utilise, je constate que la courbe cible proposée par défaut a maintenant une pente plus faible dans ma salle traitée. Comme quoi, il tiens compte du traitement de la salle et de la distance d'écoute pour proposer la courbe d'ajustement.

Je confirme que pour cette méthode de calibration et de correction, les mesures se font dans la zone d'écoute.