05/08/2018-08:56:17
RE: Jazz in Marciac - ma chronique
Allez on reprend, après 2 jours un peu chahutés.
jeudi 2/08
- Myles Sanko : je ne connaissais pas, je rejoins le concert à mi-parcours ; je n'ai pas beaucoup accroché, c'est bien fait, mais manque de flamme
- Melody Gardot : c'est le genre d'artiste que j'ai vus monter trop vite au firmament et que, en réaction je mets (parfois abusivement) en quarantaine ;
.j'ai écouté son dernier album live sur Qobuz, j'ai assez aimé
.je viens d'emprunter un de ses albums précédents, j'ai pas vraiment apprécié
.quant au concert auquel je viens d'assister, bof, c'est superbement réalisé, tout est en place, elle occupe joliment la scène, le projection en noir et blanc sur les écrans géants ont un cachet indéniable, mais bof
Un quart d'heure de marche sépare le chapiteau de l'Astrada, ce soir j'ai essayé de voir ce qui s'y passe également.
- je n'ai pas marché assez vite, j'ai raté la prestation de Ali Jackon le batteur de Marsalis
- Carlos Henriquez and The Bronx Pyramid, ils appellent ça le guarajazz, un mélange de guaracha et de jazz, en fait c'est tout simplement ce qu'on appelle aussi le latin-jazz, le croisement de rhytmes carribéens et du jazz américain, je crois que c'est Dizzy Gillespie qui a commencé, il y a belle lurette ; c'est un poil moins dansant que la salsa pure, mais très bien enlevé pour un jazz très cuivré
pas de transport ce jour, juste une observation :
.service chauffeurs oblige, j'ai rarement aussi peu picolé, pas facile à gérer et demande de l'anticipation
jeudi 2/08
- Myles Sanko : je ne connaissais pas, je rejoins le concert à mi-parcours ; je n'ai pas beaucoup accroché, c'est bien fait, mais manque de flamme
- Melody Gardot : c'est le genre d'artiste que j'ai vus monter trop vite au firmament et que, en réaction je mets (parfois abusivement) en quarantaine ;
.j'ai écouté son dernier album live sur Qobuz, j'ai assez aimé
.je viens d'emprunter un de ses albums précédents, j'ai pas vraiment apprécié
.quant au concert auquel je viens d'assister, bof, c'est superbement réalisé, tout est en place, elle occupe joliment la scène, le projection en noir et blanc sur les écrans géants ont un cachet indéniable, mais bof
Un quart d'heure de marche sépare le chapiteau de l'Astrada, ce soir j'ai essayé de voir ce qui s'y passe également.
- je n'ai pas marché assez vite, j'ai raté la prestation de Ali Jackon le batteur de Marsalis
- Carlos Henriquez and The Bronx Pyramid, ils appellent ça le guarajazz, un mélange de guaracha et de jazz, en fait c'est tout simplement ce qu'on appelle aussi le latin-jazz, le croisement de rhytmes carribéens et du jazz américain, je crois que c'est Dizzy Gillespie qui a commencé, il y a belle lurette ; c'est un poil moins dansant que la salsa pure, mais très bien enlevé pour un jazz très cuivré
pas de transport ce jour, juste une observation :
.service chauffeurs oblige, j'ai rarement aussi peu picolé, pas facile à gérer et demande de l'anticipation