13/09/2021-16:13:25
RE: initiative "Piuma" en qualité studio
Bonjour,
- tirage limité, vinyle numéroté -
Schématisé ci-avant, le processus de fabrication du disque vinyle comporte trois grandes phases.
A partir du master, la gravure permet d'obtenir la laque, à limage du disque qui sera obtenu au final.
Par un procédé de reproduction à partir de la laque, la galvanoplastie va fabriquer les matrices père, mère et stamper. Le père et le stamper portent une empreinte négative.
Le pressage proprement dit utilise un stamper (ou un père) pour la fabrication du disque vinyle.
A chaque filiation, on va multiplier le nombre de successeurs, en qualité standard :
.le père donne x30 mère
.chaque mère donne x30 stamper
.chaque stamper va presser 1500 disques
pour arriver à une édition de 135000 exemplaires.
Pour augmenter le tirage, la solution est de reboucler sur une reproduction mère>père voire de re-reboucler mère>père>...>mère>père.
Chez M'COMM, pour garder un niveau de qualité élevée :
.le père donne x4 mère au lieu de 30
.chaque mère donne x5 stamper au lieu de 30
.chaque stamper va presser 700 disques au lieu de 1500
Et le rebouclage >mère>père est banni des pratiques.
Dans un petit tirage comme Piuma, on se limite à un cycle encore plus court, le vinyle est pressé directement depuis le père.
On a supprimé deux étapes de reproduction, mais on est limité à 700 exemplaires max.
Dans ces conditions, les 100 exemplaires de notre tirage n'ont pas vraiment besoin d'être numérotés.
- test pressing -
Les pressages de test servent à valider le processus avant le lancement de la fabrication proprement dite. Sauf s'ils sont ratés, on peut considérer qu'ils présentent la meilleure qualité possible.
Pour ma part quand j'en trouve dans les bacs je saute dessus sans tergiverser.
Concernant Piuma, vu le tirage limité, on peut considérer que tous les exemplaires de l'édition régulière sont d'égale qualité et n'ont rien à envier aux pressages de test.
a+mitiés raoul
- tirage limité, vinyle numéroté -
Schématisé ci-avant, le processus de fabrication du disque vinyle comporte trois grandes phases.
A partir du master, la gravure permet d'obtenir la laque, à limage du disque qui sera obtenu au final.
Par un procédé de reproduction à partir de la laque, la galvanoplastie va fabriquer les matrices père, mère et stamper. Le père et le stamper portent une empreinte négative.
Le pressage proprement dit utilise un stamper (ou un père) pour la fabrication du disque vinyle.
A chaque filiation, on va multiplier le nombre de successeurs, en qualité standard :
.le père donne x30 mère
.chaque mère donne x30 stamper
.chaque stamper va presser 1500 disques
pour arriver à une édition de 135000 exemplaires.
Pour augmenter le tirage, la solution est de reboucler sur une reproduction mère>père voire de re-reboucler mère>père>...>mère>père.
Chez M'COMM, pour garder un niveau de qualité élevée :
.le père donne x4 mère au lieu de 30
.chaque mère donne x5 stamper au lieu de 30
.chaque stamper va presser 700 disques au lieu de 1500
Et le rebouclage >mère>père est banni des pratiques.
Dans un petit tirage comme Piuma, on se limite à un cycle encore plus court, le vinyle est pressé directement depuis le père.
On a supprimé deux étapes de reproduction, mais on est limité à 700 exemplaires max.
Dans ces conditions, les 100 exemplaires de notre tirage n'ont pas vraiment besoin d'être numérotés.
- test pressing -
Les pressages de test servent à valider le processus avant le lancement de la fabrication proprement dite. Sauf s'ils sont ratés, on peut considérer qu'ils présentent la meilleure qualité possible.
Pour ma part quand j'en trouve dans les bacs je saute dessus sans tergiverser.
Concernant Piuma, vu le tirage limité, on peut considérer que tous les exemplaires de l'édition régulière sont d'égale qualité et n'ont rien à envier aux pressages de test.
a+mitiés raoul