Grand_Floyd a écrit :Il ne s'agit pas d'être aimable ou pas envers ces éminents spécialistes qui tu semblent magnifier,mais leurs arguments si peu développés (à moins qu'ils aient écrit des articles que je n'ai pas vu)appellent beaucoup de questions.Tous deux ont écrit des livres (au total dans les 3000 pages), remarquablement didactiques et profondément instigateurs sur toutes sortes d'aspects des circuits amplificateurs.
Quitte à me faire houspiller, je dirai qu'il est loin d'en être de même quant aux développements d'un circuit amplificateur très en vogue sur ce forum et dont l'auteur est vénéré depuis plus d'une génération et demie.
Citation :Entre autres : A partir de quelle dimension du fil est fin?C'est un genre d'expérience que tout "diyer" intéressé est capable de mène sans recommandations précises qui, de toutes façons, différeraient selon le cas de figure. Par ailleurs, il est possible de contacter Cordell, lequel a déjà indiqué la capacité qu'il utilise pour le découplage local des rails d'alimentation de l'étage puissance : 1000 µF (lien donné dans un post précédent).
Quelle section utiliser en fonction de la puissance,du type d'ampli,classe A classe B etc...
Le fil ne va-t'il pas chauffer jusqu'à faire fondre son isolant?
Ne vaudrait-il pas mieux utiliser un fil de section plus forte et de mettre une résistance au bout,qui elle sera déterminée par rapport à la puissance à dissiper et chauffera peu?
Pour le fil, il en existe dont la gaine résiste bien à la chaleur. Le but, rappelons-le, est de filtrer les parasites de l'alimentation, plus particulièrement ceux dus aux commutations du redressement. Même faible, la résistance série d'un fil n'est pas dépourvue d'effet, j'ai eu l'occasion de le constater.