tientien a écrit :Bonjour Jean-René,
Bravo pour ton nouveau système !
Nickel tes réglages "à l'oreille", perso je n'y arrive que très difficilement...(grosse galère en général)
Je me posais des petites questions :
Pourquoi un coax ? L'aigu n'est pas en dipôle...
Quelles sont tes corrections en niveau dans l'extrême grave ?
Cordialement,
Etienne
Slt Etienne,
Grand plaisir de te revoir sur le forum.
Merci pour tes encouragements.
Comme je l'avais dit sur mes posts précédents, ce sont des HPs que j'avais déjà "sous la main", donc j'ai voulu faire un peu joujou avec eux et bien m'en a pris.........
Pour les coax, je t'en reparlerai une prochaine fois; petite info , j'ai quand même une petite compression à l'arrière orientée vers le haut...
Le plus surprenant reste ce 38 qui descend correctement à 40 Hz et monte à plus de 4 KHz sans gros accident dans sa courbe de réponse, ce qui me laisse à penser que je pourrais l'utiliser au moins jusque 600/800 Hz, voire 1000Hz; je te dis ça parce que lorsque je l'ai mis en service je ne l'ai pas filtré, afin de connaître sa "performance" musicale et franchement il le fait plutôt bien.
Hé! non, je n'apporte aucune correction, ce qui est plutôt surprenant; le grave qu'il "me donne" me satisfait pleinement, même si la dernière octave est quelque peu timide, mais crois-moi de 40Hz à 255 Hz, la contrebasse s'exprime de façon naturelle, aucune frustration n'est ressentie et surtout pas d'effet boomie, mais là je sais, je prêche un convaincu.
Sur un CD de piano, enregistré à "l'ancienne"........ je t'assure c'est vraiment confondant de vérité (j'ai un 3/4 de queue à la maison), mais ce qui est surprenant une nouvelle fois de plus, c'est la différenciation entre la main gauche et la main droite
Dés le début de l’écoute de la sonate N° 60, le jeu de Ragna Schirmer met en relief le phrasé de l’interprétation qui apparaît dans toutes ses nuances.
De la même façon, l’écoute permet de mettre également en valeur la souplesse du jeu des mains et des doigts. On voit, en fermant les yeux, clairement se dessiner devant soi les deux mains sur le clavier et les nuances du jeu qu’elles impriment sur les touches, avec l'impression suggestive de l’espace sonore.
La captation du Steinway (d 60) , dont on reconnaît ici nettement la signature, traduit parfaitement les nuances du jeu, l’ampleur des notes jouées et les nuances qu’on leur imprime jusqu'à l’extinction perceptible de la note.
Excuses pour ma prose, ma passion débordante pour le piano est toujours intacte et je sais de quoi je parle.
Au plaisir de te lire très prochainement.
JR
PS; où en es-tu avec l'Infraflex?
modo: je suis repassé derrière pour remettre la balise fermante - relisez-vous quand vous quotez un post (raoul)