29/05/2013-13:29:12
RE: Raoul
Chouette c'est la Pentecôte !
Il est 11h en ce dimanche matin, Roger vient d'arriver et m'a déposé les pavillons.
La veille, j'avais reçu le colis avec les petits pavillons en bois que m'a envoyés Franck Delbauve. Ce sera pour les aigus.
Première opération : monter une voie en 288 et comparer. On a donc la voie de gauche en TAD2001 et la voie de droite en 288.
Comme il faut être aux manettes pour basculer le volume à gauche ou à droite, c'est ma femme qui écoute, même si de là où je suis, je sens bien la différence.
Elle me dit que c'est tout de suite plus ample avec le 15 cellules, le TAD est éteint à côté, ça fait petit. Elle me demande même comment j'ai pu écouter autrement depuis tout ce temps (c'est cruel les femmes).
Plus tard, je referai quelques essais en switchant les voies puis en inversant les câbles pour bien écouter le même message.
En plus de l'ampleur, il y a une densité dans le message ça devient vraiment jouissif. Autre chose, la terminaison des notes sont longues. Les vibrations de la caisse claire par exemple n'en finissent pas de s'éteindre.
Pour l'instant, c'est une installation un peu précaire.
Une résistance de 15 ohms en parallèle sur la 288 à la place de la TAD. Un condo de 1 microF pour l'ajout du tweeter.
J'ai rapidement testé les 2001 montés en tweeter. Mais il faut que je leur bricole un berceau. A peur de les voir rouler et défoncer le carrelage.
Le système commence vraiment à être à l'étroit. Il est temps que je lui donne l'espace qu'il mérite.
Mais déjà là, le pas en avant est tel que je crois que je ne remettrai plus jamais les Ledauphin+TAD (à part pour les montrer à la vente ?).
En arrivant, avant de démonter, j'ai fait écouter à Roger le système avec le Preyale. Il m'a immédiatement confirmé que pour lui l'ampli peinait.
Un peu plus tard, j'ai recommencé l'exercice, un seul morceau , Misty de Tsuyoshi Yamamoto. En me focalisant sur l'impact du piano, je me suis vite rendu à l'avis de Roger. Là où le P4000 délivre un son plein, avec un très beau soutien en bas, le 5998 est bien plus court.
Comme je suis joueur, j'ai ressorti un Electrocompaniet 45 de derrière les fagots. Il n'est pas resté allumé plus de 3 minutes (temps de chauffe non compris).
Je me demande à quel point je me suis gourré lors des précédentes écoutes comparatives P4000/5998. Je les ai faites assez tard dans la nuit et même si je ne crains pas pour le voisinage, le plus souvent écouté à volume moyen, ne serait-ce que pour s'adapter au faible niveau obtenu avec le Preyale. On se rassure comme on peut...
Il est 11h en ce dimanche matin, Roger vient d'arriver et m'a déposé les pavillons.
La veille, j'avais reçu le colis avec les petits pavillons en bois que m'a envoyés Franck Delbauve. Ce sera pour les aigus.
Première opération : monter une voie en 288 et comparer. On a donc la voie de gauche en TAD2001 et la voie de droite en 288.
Comme il faut être aux manettes pour basculer le volume à gauche ou à droite, c'est ma femme qui écoute, même si de là où je suis, je sens bien la différence.
Elle me dit que c'est tout de suite plus ample avec le 15 cellules, le TAD est éteint à côté, ça fait petit. Elle me demande même comment j'ai pu écouter autrement depuis tout ce temps (c'est cruel les femmes).
Plus tard, je referai quelques essais en switchant les voies puis en inversant les câbles pour bien écouter le même message.
En plus de l'ampleur, il y a une densité dans le message ça devient vraiment jouissif. Autre chose, la terminaison des notes sont longues. Les vibrations de la caisse claire par exemple n'en finissent pas de s'éteindre.
Pour l'instant, c'est une installation un peu précaire.
Une résistance de 15 ohms en parallèle sur la 288 à la place de la TAD. Un condo de 1 microF pour l'ajout du tweeter.
J'ai rapidement testé les 2001 montés en tweeter. Mais il faut que je leur bricole un berceau. A peur de les voir rouler et défoncer le carrelage.
Le système commence vraiment à être à l'étroit. Il est temps que je lui donne l'espace qu'il mérite.
Mais déjà là, le pas en avant est tel que je crois que je ne remettrai plus jamais les Ledauphin+TAD (à part pour les montrer à la vente ?).
En arrivant, avant de démonter, j'ai fait écouter à Roger le système avec le Preyale. Il m'a immédiatement confirmé que pour lui l'ampli peinait.
Un peu plus tard, j'ai recommencé l'exercice, un seul morceau , Misty de Tsuyoshi Yamamoto. En me focalisant sur l'impact du piano, je me suis vite rendu à l'avis de Roger. Là où le P4000 délivre un son plein, avec un très beau soutien en bas, le 5998 est bien plus court.
Comme je suis joueur, j'ai ressorti un Electrocompaniet 45 de derrière les fagots. Il n'est pas resté allumé plus de 3 minutes (temps de chauffe non compris).
Je me demande à quel point je me suis gourré lors des précédentes écoutes comparatives P4000/5998. Je les ai faites assez tard dans la nuit et même si je ne crains pas pour le voisinage, le plus souvent écouté à volume moyen, ne serait-ce que pour s'adapter au faible niveau obtenu avec le Preyale. On se rassure comme on peut...