Merci de ton retour Raoul
Je suis tout de même très étonné de leurs réponses, bien sûr que l'on se focalise sur faire la meilleure captation possible, l'artistique, mais on a quand même en tête la finalité. Je t'ai donné des exemples sur des sons qui n'ont pas besoin d'être capté comme par exemple pour le grave sur vinyle, mais je peux dire la même chose sur le mix, on ne cherche pas la même dynamique d'un son, du mix par exemple s'il est destiné au vinyle ou au numérique. On fait peut-être maintenant toutes les adaptations aux supports variés au niveau du mastering, aux masterings déclinés.
C'est peut-être implicite, peut-être masqué par la focalisation sur le bien faire ou le tout pour l'artiste, mais plutôt, je ne dois plus être à la page sûrement en rapport avec la multiplication et la variété des supports d'aujourd'hui, donc on fait le meilleur (sans finalité) pouvant donc être décliné/adapté à tous les supports.
L'artiste, la production et la "méthode technique" ne choisiraient plus une optimisation concertée pour un support principal, mais plutôt une versatilité pour déclinaison sur tout support, la diffusion sur plateforme de l'ensemble des prods a probablement changé cela.
On ne choisirait plus, au départ ou à un moment, le temps inscriptible/artistique pour les 2 faces d'un vinyle (ça doit quand même se faire encore )
... pas forcément pour du bien encore (chaine technique et méthode optimisée comme avant aussi pour sa finalité), mais vu que les techniques évolues aussi ça doit être compensé, et la plupart passent par Pro Tools, peut-être le nouveau déterminant (finalité intermédiaire, axe de la chaîne générale) qui a dû modifier la méthode aussi, la versatilité... le numérique c'est bien imposé (désolé d'écrire cela avec un petit lien avec ton projet Raoul, surtout que je salue ta démarche... déjà "résistante" )
Je suis un peu étonné de cette non-spécificité tout de même mais c'est vrai qu'avec le vinyle maintenant, on fournit souvent le fichier numérique, une nouvelle époque.
Je suis tout de même très étonné de leurs réponses, bien sûr que l'on se focalise sur faire la meilleure captation possible, l'artistique, mais on a quand même en tête la finalité. Je t'ai donné des exemples sur des sons qui n'ont pas besoin d'être capté comme par exemple pour le grave sur vinyle, mais je peux dire la même chose sur le mix, on ne cherche pas la même dynamique d'un son, du mix par exemple s'il est destiné au vinyle ou au numérique. On fait peut-être maintenant toutes les adaptations aux supports variés au niveau du mastering, aux masterings déclinés.
C'est peut-être implicite, peut-être masqué par la focalisation sur le bien faire ou le tout pour l'artiste, mais plutôt, je ne dois plus être à la page sûrement en rapport avec la multiplication et la variété des supports d'aujourd'hui, donc on fait le meilleur (sans finalité) pouvant donc être décliné/adapté à tous les supports.
L'artiste, la production et la "méthode technique" ne choisiraient plus une optimisation concertée pour un support principal, mais plutôt une versatilité pour déclinaison sur tout support, la diffusion sur plateforme de l'ensemble des prods a probablement changé cela.
On ne choisirait plus, au départ ou à un moment, le temps inscriptible/artistique pour les 2 faces d'un vinyle (ça doit quand même se faire encore )
... pas forcément pour du bien encore (chaine technique et méthode optimisée comme avant aussi pour sa finalité), mais vu que les techniques évolues aussi ça doit être compensé, et la plupart passent par Pro Tools, peut-être le nouveau déterminant (finalité intermédiaire, axe de la chaîne générale) qui a dû modifier la méthode aussi, la versatilité... le numérique c'est bien imposé (désolé d'écrire cela avec un petit lien avec ton projet Raoul, surtout que je salue ta démarche... déjà "résistante" )
Je suis un peu étonné de cette non-spécificité tout de même mais c'est vrai qu'avec le vinyle maintenant, on fournit souvent le fichier numérique, une nouvelle époque.