Salut,
sans aucune critique a priori ou posteriori, je vous soumets quelques réflexions d'audiophile client des pressages de qualité.
> Il faut probablement s'interroger sur l'usine de fabrication et son process. Une bonne part du résultat et de la qualité du disque vient aussi de là. Certaines usines
semblent avoir des lignes ''haute qualité''... voire pressage manuel pour le THG (pas sûr que ce soit mieux).
> Il faudrait aussi demander quelle ''pâte'' à vinyl ils utilisent. Il y en a des plus ou moins silencieuse... c'est sensible.
> Enfin, il faudrait creuser la question du mastering et de la ''gravure'' de la laque d'origine, sur la base du fichier source numérique (ce qui n'est probablement pas le point le plus sensible dans le process) : process lacque, père-mère, pressage usuel ou autre ? As tu pu récupéré ou écouter les laques ?
Il parait que c'est assez impressionnant du point de vue son, même si la pérennité n'est pas bonne...
https://www.youtube.com/watch?v=SrBfxRrUvjM
On a tous des disques enregistrés en digital qui sonnent (formidablement) bien, ainsi que des disques d'avant le numérique (donc analogiques) qui sonnent super mal avant même d'être rayés. Les dernières éditions des Stones sorties à l'automne ont super ''mauvaise presse'' (j'ai pas acheté les coffrets à 100 balles réputés pourris, désolé...) , alors qu'on ne peut pas taxer les stones - et leurs ingénieurs - d'être des amateurs. Comprenne qui pourra qui a merdé dans la chaîne...
Raoul, toi qui devient un vrai pro de la question, peux-tu nous en dire un peu plus ? Au moins de ce que tu sais, ou supposes... en français, ça ira
Julien