Le cascode d'entrée assure au premier étage une transconductance à impédance de sortie plus élevée que s'il n'y avait qu'un seul composant actif. Le courant sortant de l'anode est converti en tension par la charge, variable avec la fréquence, composée de R2, C3, R6, C4. L'étage qui suit doit être à haute impédance.
Il y a eu peu de montages à transistors de même inspiration, c'est à dire avec une impédance de sortie élevée pour le premier étage. On peut citer le Pink Triange PIP.
L'idée de la correction RIAA passive est d'éviter d'éventuelles saturations qui peuvent se produire quand elle est définie de façon dite active par un réseau de contre-réaction.
J'ai quelques doutes sur ces saturations qui dans les années 70-80 étaient de véritables obsessions chez les audiophiles.
Mais pour avoir tâté de le correction passive (avec des transistors alimentés sous près de 300 Vdc) j'en garde un très bon souvenir. Après je suis passé à un préampli phono... à entrée inverseuse alimentée sous 20 Vdc.
Il y a eu peu de montages à transistors de même inspiration, c'est à dire avec une impédance de sortie élevée pour le premier étage. On peut citer le Pink Triange PIP.
L'idée de la correction RIAA passive est d'éviter d'éventuelles saturations qui peuvent se produire quand elle est définie de façon dite active par un réseau de contre-réaction.
J'ai quelques doutes sur ces saturations qui dans les années 70-80 étaient de véritables obsessions chez les audiophiles.
Mais pour avoir tâté de le correction passive (avec des transistors alimentés sous près de 300 Vdc) j'en garde un très bon souvenir. Après je suis passé à un préampli phono... à entrée inverseuse alimentée sous 20 Vdc.