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L'abus de multi-pseudos est dangereux pour la santé mentale, ... N'est-ce pas Tony Big Grin 
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#2
RE: Au concert, en enregistrement ... réglage "courbe-cible", erreurs et vérités
Bonjour

Il y a un point important à ne pas oublier, l'écoute doit plaire à celui qui a la chaîne.
L'écoute me plait avec la courbe cible, dont la pente est bien réglée.
Avec une pente trop faible, l'aigu me vrille les oreilles.
Avec une pente trop forte, l'écoute est trop mate.
Ce n'est pas un réglage "au petit bonheur", c'est un réglage "pour mon bonheur" !!!

Mon compromis ne doit pas être si mal que ça, le denier auditeur qui est passé chez moi a dit, dès qu'il est entré dans le salon ou se trouvait la chaîne et ou il y avait une musique d'ambiance, "l'équilibre sonore est juste".

Il n'y a pas que les orchestres qui peuvent servir de référence, les musiciens et fanfares de rue sont aussi une référence sur l'équilibre sonore.
A coté de l'équilibre, il y a aussi le niveau sonore.
Quand, dans une démonstration, le niveau sonore du violon est plus fort qu'au concert, vous savez que vous trouverez assez vite d'autres défauts, le propriétaire de la chaîne n'a pas de références sonore qui tiennent la route.

Il n'y a pas de solution parfaite, de méthode parfaite.
Mais sans une référence sonore vous ne pouvez pas parler de haute-fidélité qui est justement la fidélité par rapport à une référence.
Vous avez parfaitement le droit de vouloir le son qui vous plait, mais ne venez pas nous faire la morale avec votre manque total de références sonores.

Je ne vais pas réécrire tout les arguments qui sont dans ce chapitre : http://petoindominique.fr/php/hi-fi.php
La partie "Le concert dans votre pièce" explique bien les choses, je l'ai relu avant de mettre le lien et n'ai rien à modifier...

Cordialement, Dominique
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#3
RE: Au concert, en enregistrement ... réglage "courbe-cible", erreurs et vérités
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L'abus de multi-pseudos est dangereux pour la santé mentale, ... N'est-ce pas Tony Big Grin 
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#4
RE: Au concert, en enregistrement ... réglage "courbe-cible", erreurs et vérités
tonipe a écrit :ne venez pas nous faire la morale avec votre manque total de références sonores.

Manque total de référence sonore, adressé à Anaël,
nouveau record stratosphérique de la bouffonesquerie tonipienne.
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#5
RE: Au concert, en enregistrement ... réglage "courbe-cible", erreurs et vérités
nxx a écrit :Mais le son enregistré sur les disques est très différent de celui entendu en concert depuis la salle;
pour les captations, les micros sont placés en proximité des instruments, il n'y a pas ou très peu d'effet roll-off en HF dû à l’absorption de l'air,
et toutes les réflexions pourtant perçues en salle ne sont pas captées par ces micros.

La preuve, on est obligé ensuite d'ajouter des pistes spécifiques prises à distance plus importante
et de les doser finement afin d'introduire une notion de réverbération plausible,
afin de ne pas nuire à l'équilibre du mixage multimic/multicouples réglé précédemment.

En salle on est situé à une dizaine voire plusieurs dizaines de mètres des sources sonores,
ce qui procure une importante atténuation en fréquences aiguës et modifie directement le timbre des instruments,
en leur ajoutant une "couleur" propre à chaque salle et à chaque siège de cette salle,
aussi à cause des multiples réflexions tardives qui enrichissent le son direct produit au départ.

Tu te contredis. Tu expliques que la référence n'est pas l'écoute d'un spectateur situé dans la salle mais qu'on ajoute aux enregistrement des instruments en champ proche de la réverbération. N'est-ce pas pour revenir à ce qu'entend un spectateur ?

Tu fais une confusion sur l'utilité/l'inutilité du champ réverbéré. Celui-ci est nécessaire dans le cas de l'écoute de musiciens jouant dans une salle, néfaste dans le cas de la reproduction de la musique enregistrée. En effet dans ce dernier cas, il se superpose aux champ réverbéré de la salle de la prise se son que diffusent les enceintes.

C'est d’ailleurs une recommandation des cabines de mixage LEEDE que donne Don Davis à savoir qu'il doit y avoir un chemin anéchoïde entre les enceintes et l'ingénieur du son donnant un ITD (initial Time Delay) cabine supérieur de 5ms à l'ITD studio.

Mais tu as raison, c'est bien comme te le dis qu'on procède aux enregistrements. Mais il faut en comprendre la raison qui est économique : on ne veut pas dépendre de l'acoustique de la salle, ce qui permet d'enregistrer dans des salles à l'acoustique pourrie. On recrée artificiellement le champ réverbéré. Difficile d'accepter que ce soit ça la référence Tongue D'autant qu'avec cette manière de faire, il est difficile de reproduire parfaitement la spatialisation des instruments.

Alors évidemment, si l'on veut procéder à un enregistrement dans la salle - avec une tête artificielle par exemple - le résultat dépendra de la position de cette tête. C'est l'ingénieur du son qui choisira cet emplacement probablement au centre pas très loin de l'orchestre, là où il jugera que le rapport champ réverbère, champ direct lui convient, tout comme dans ton cas, l'ingénieur dose la quantité de réverbération qu'il introduit.

Mais avec une tête artificielle la spatialisation des instrument sera inégalée. On connait tous les fameux enregistrement d’André Charlin, fait avec une tête artificielle de son invention, dont les qualités sont généralement reconnus : http://gbaudiovision.fr/Disc_1.html

L'enregistrement binaural semble faire son retour https://fr.wikipedia.org/wiki/Enregistrement_binaural
Visiter mon site ici
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#6
RE: Au concert, en enregistrement ... réglage "courbe-cible", erreurs et vérités
jimbee a écrit :
tonipe a écrit :ne venez pas nous faire la morale avec votre manque total de références sonores.

Manque total de référence sonore, adressé à Anaël,
nouveau record stratosphérique de la bouffonesquerie tonipienne.

Comme dirait Audiar "C'est même à ça qu'on le reconnaît."
Mon projet 
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"Ne soutiens jamais par colère quelque fait que ce soit, surtout s'il est douteux : La raison vainement t'offrira sa lumière, lorsque la passion te fermera les yeux." Denys Caton
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#7
RE: Au concert, en enregistrement ... réglage "courbe-cible", erreurs et vérités
Si l'enregistrement binaural revient à la mode, c'est aussi et surtout parce que l'écoute au casque devient de plus en plus la norme.
X-UNI, MiniDSP OpenDRC DA8, SPH450TC, AXI2050 sur pavillon SEOS-30
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#8
RE: Au concert, en enregistrement ... réglage "courbe-cible", erreurs et vérités
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L'abus de multi-pseudos est dangereux pour la santé mentale, ... N'est-ce pas Tony Big Grin 
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#9
RE: Au concert, en enregistrement ... réglage "courbe-cible", erreurs et vérités
Maintenant que l'on sait que l'écoute en salle peu difficilement être comparable avec un enregistrement et servir de référence. La question de la courbe cible me semble le point à développer. Certain système de correction adapte la courbe cible en fonction de la proportion de champ direct champ diffus pour chaque octave. C'est quoi le principe appliqué?
Mon projet 
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#10
RE: Au concert, en enregistrement ... réglage "courbe-cible", erreurs et vérités
tonipe a écrit :Il n'y a pas que les orchestres qui peuvent servir de référence, les musiciens et fanfares de rue sont aussi une référence sur l'équilibre sonore.
A coté de l'équilibre, il y a aussi le niveau sonore.
Quand, dans une démonstration, le niveau sonore du violon est plus fort qu'au concert, vous savez que vous trouverez assez vite d'autres défauts, le propriétaire de la chaîne n'a pas de références sonore qui tiennent la route.

Il n'y a pas de solution parfaite, de méthode parfaite.
Mais sans une référence sonore vous ne pouvez pas parler de haute-fidélité qui est justement la fidélité par rapport à une référence.
Vous avez parfaitement le droit de vouloir le son qui vous plait, mais ne venez pas nous faire la morale avec votre manque total de références sonores.
Dominique

Une fanfare de rue, ou une simple batterie, un piano à queue, ou encore un orchestre symphonique ne tiendraient jamais dans votre salon, comme dans tous les autres, à niveau réel et dynamique réelle. Il faut accepter qu’on écoute une reproduction très réduite. Et ce d’autant plus sur un large bande.

Jean-Louis
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