14/03/2020-18:43:14
Mon avis
Bonjour,
En premier définir plusieurs groupes de vinyles
Les 100% analogiques :
- La collection personnelle qui peut-être importante
- Des achats de disques d'occasion, le marché est gigantesque (on peut même trouver des disques scéllés vieux de 50 ans)
- Des rééditions souvent couteuses mais de grandes qualités
Le son d'un disque édité au plus proche de son enregistrement n'est pas pénalisé par la détérioration de la bande utilisée,
ce qui n'est pas le cas de rééditions numériques.
Les autres :
- Les rééditions douteuses à base de numérique (à fuire)
- Les sorties récentes (autant éviter sauf motif particulier, exemple compléter une collection)
La fragilité du support et les craquements :
Tout dépend de la qualité de la matière première utilisée (une hypothèse)
2 exemple :
Beggars Banquet de 68, lu et relu par une charrue à l'époque, quelques craquements
Larry Coryell at The Village Gate de 71, idem et aucun craquement !
La poussière est le pire ennemi du vinyle, il y a un remède très efficace, la machine à laver les vinyles.
C'est contraignant, certes, mais le résultat est très impressionnant (plus de détails, de dynamique)
En zone urbaine la pollution vient se rajouter et là c'est un désastre ! (vécu)
Le vinyle, une mode
C'était le cas pour les CD dans les années 80 (particulièrement en France)
Ensuite vinyle vs numérique
Un exemple :
Jimi Hendrix Band of Gypsys, réédition Classic Record. Le son est fantastique.
Songs For Groovy Children : The Fillmore East Concerts, enregistrements de même origine, en 24/44. Aucun détail, dynamique poussive.
En premier définir plusieurs groupes de vinyles
Les 100% analogiques :
- La collection personnelle qui peut-être importante
- Des achats de disques d'occasion, le marché est gigantesque (on peut même trouver des disques scéllés vieux de 50 ans)
- Des rééditions souvent couteuses mais de grandes qualités
Le son d'un disque édité au plus proche de son enregistrement n'est pas pénalisé par la détérioration de la bande utilisée,
ce qui n'est pas le cas de rééditions numériques.
Les autres :
- Les rééditions douteuses à base de numérique (à fuire)
- Les sorties récentes (autant éviter sauf motif particulier, exemple compléter une collection)
La fragilité du support et les craquements :
Tout dépend de la qualité de la matière première utilisée (une hypothèse)
2 exemple :
Beggars Banquet de 68, lu et relu par une charrue à l'époque, quelques craquements
Larry Coryell at The Village Gate de 71, idem et aucun craquement !
La poussière est le pire ennemi du vinyle, il y a un remède très efficace, la machine à laver les vinyles.
C'est contraignant, certes, mais le résultat est très impressionnant (plus de détails, de dynamique)
En zone urbaine la pollution vient se rajouter et là c'est un désastre ! (vécu)
Le vinyle, une mode
C'était le cas pour les CD dans les années 80 (particulièrement en France)
Ensuite vinyle vs numérique
Un exemple :
Jimi Hendrix Band of Gypsys, réédition Classic Record. Le son est fantastique.
Songs For Groovy Children : The Fillmore East Concerts, enregistrements de même origine, en 24/44. Aucun détail, dynamique poussive.
Platine lourde Nantex/plomb/Paulstra - Sheu 80mm - Clone SME 3012 I - DL103 PRO - Porte cellule bakelite Ortofon - Sonore microRendu - Dac Naim V1 - Lecteur CD Naim CD5 XS - Kaneda 210 alim Degawa - Filtre LCR MDA - Kaneda N° 167 - 2 K209+ Grand_Floyd - Petite Onken - Clone Ledauphin - TAD 2001 - Fostex T900A - 2402 - Mogami