17/06/2018-08:49:17
RE: Le facteur d'accélération
Recourir aux (Bl) importants et aux masses mobiles légère est à mes yeux surtout une grosse erreur d'interprétation de la physique. On se préoccupait aveuglément du dit facteur d'accélération, le rapport (Bl)/m, et on oubliait, comme on le voit dans quelques posts plus haut, que cette formule en soi ne comporte pas de variable correspondant à la force, variable qui apparaît avec le courant i. Le rapport (Bl)/m rentre dans la formule du rendement qui est un indice de quantité sonore non de qualité.
Influencé par ce qui se disait à l'époque de l'Audiophile, je suis tombé dans l'erreur du facteur de force mais ai vite remis en cause son concept en constatant que les haut-parleurs à bas rendement donnaient des images sonores tout aussi détaillées que ceux à haut rendement. Je n'étais pas le seul puisque dans nombre d'autres pays, notamment en Europe, les systèmes à haut-rendement n'ont pas du tout connu la même vague de succès auprès des audiophiles qu'en France.
Quand aux amplificateurs, il y avait déjà à l'époque des amplificateurs classe A dépassant 20 W, largement suffisants, pour obtenir des niveaux très élevés avec des haut-parleurs à haut-rendement. Les démonstrations de ces derniers auxquelles j'ai assisté se faisaient d'ailleurs à des niveaux tout à fait raisonnables... à part quand on voulait donner dans le spectaculaire des bruits d'hélicoptère ou de locomotive... au contenu musical limité.
Il y avait aussi ribambelle de classe B que personne n'était capable de différencier des classe A. Le Linsley-Hood classe A, 10W, vénéré encore aujourd'hui sans raison, existait depuis 1969, le Sugden de 20 W d'un peu avant. Mais les amplis à tubes Marantz ou Leak bien antérieurs, étaient tout à fait en mesure d'alimenter les enceintes à faible rendement.
Influencé par ce qui se disait à l'époque de l'Audiophile, je suis tombé dans l'erreur du facteur de force mais ai vite remis en cause son concept en constatant que les haut-parleurs à bas rendement donnaient des images sonores tout aussi détaillées que ceux à haut rendement. Je n'étais pas le seul puisque dans nombre d'autres pays, notamment en Europe, les systèmes à haut-rendement n'ont pas du tout connu la même vague de succès auprès des audiophiles qu'en France.
Quand aux amplificateurs, il y avait déjà à l'époque des amplificateurs classe A dépassant 20 W, largement suffisants, pour obtenir des niveaux très élevés avec des haut-parleurs à haut-rendement. Les démonstrations de ces derniers auxquelles j'ai assisté se faisaient d'ailleurs à des niveaux tout à fait raisonnables... à part quand on voulait donner dans le spectaculaire des bruits d'hélicoptère ou de locomotive... au contenu musical limité.
Il y avait aussi ribambelle de classe B que personne n'était capable de différencier des classe A. Le Linsley-Hood classe A, 10W, vénéré encore aujourd'hui sans raison, existait depuis 1969, le Sugden de 20 W d'un peu avant. Mais les amplis à tubes Marantz ou Leak bien antérieurs, étaient tout à fait en mesure d'alimenter les enceintes à faible rendement.