Ben là évidemment, F. Mounier parle une autre langue, celle de la recherche de la fidélité absolue... Ce qu'il a voulu dire de façon sans doute très abrupte, c'est qu'encore une fois, il y a différentes façons d'écouter de la musique : soit en voulant "à tout prix" retrouver le son "original" (rappelez-vous l'adage de QUAD "For the closest approach to the original sound !..."), soit en "préférant" une esthétique ou une autre lors de ces écoutes...
C'est en grande partie ce que nous avons débattu dans le fil "dérivé" de l'écoute d'un petit ampli numérique I'AM D V200... où il a été bien précisé que chaque démarche était aussi légitime et acceptable que l'autre.
Ce qui est plus difficile à croire, cependant en acceptant l'idée qu'il poursuit bien le premier Graal, c'est qu'il... y soit parvenu !... D'abord, il parle de phase linéaire, mais la RI qu'il a montré (je ne sais plus à qui ici...) est de type à phase... minimale. Ce qui est différent, puisque dans ce cas tous les zéros de la fonction de transfert sont dans le disque unité, et donc cela minimise le temps de propagation de groupe, alors qu'un système à phase linéaire est un système dont le temps de propagation de groupe est constant.
Il faudra que je lui fasse préciser ce point lors d'une rencontre...
Je disais donc que ce qui m'étonne c'est qu'il y soit parvenu, je veux dire en utilisant des solutions "classiques" pour les enceintes, ce qui me parait hautement suspect, car sans guide d'onde, il me semble qu'un certain nombre de problèmes vont apparaitre en fonction de la pièce ET de la zone d'écoute. Mais là je me tourne vers Jean Marie pour avoir son avis... Je précise que le système DCW de Genelec modifie le rayonnement de telle sorte que le diagramme de dispersion soit constant et contrôlé à toutes les fréquences : la réponse hors-axe est plate, mais avec un niveau réduit par rapport à celui dans l'axe. Le résultat net est une aire de stabilité élargie de l'image stéréo. De plus, la réponse en puissance devient plus uniforme sans pics ou vallées sur les zones de coupure fréquentielles.
Ce que je sais, par exemple, chez les pros, pour faire court et chez Genelec pour que les choses soient encore plus claires et que je les ai cités en exemple ci-dessus, c'est qu'ils accordent une importance considérable à ce paramètre au point que toutes leurs enceintes ont bénéficié d'une étude spécifique à ce niveau... A ma connaissance, il n'y a pas de moyen "électronique" pour gérer simplement ce rayonnement...
Une écoute dans un environnement non-familier ne suffira sans doute pas à se faire une idée précise du réel résultat et dépenser près de 4000 € en risquant de se rendre compte que les problèmes apparaissent dans certains cas et pas d'autres...
C'est en grande partie ce que nous avons débattu dans le fil "dérivé" de l'écoute d'un petit ampli numérique I'AM D V200... où il a été bien précisé que chaque démarche était aussi légitime et acceptable que l'autre.
Ce qui est plus difficile à croire, cependant en acceptant l'idée qu'il poursuit bien le premier Graal, c'est qu'il... y soit parvenu !... D'abord, il parle de phase linéaire, mais la RI qu'il a montré (je ne sais plus à qui ici...) est de type à phase... minimale. Ce qui est différent, puisque dans ce cas tous les zéros de la fonction de transfert sont dans le disque unité, et donc cela minimise le temps de propagation de groupe, alors qu'un système à phase linéaire est un système dont le temps de propagation de groupe est constant.
Il faudra que je lui fasse préciser ce point lors d'une rencontre...
Je disais donc que ce qui m'étonne c'est qu'il y soit parvenu, je veux dire en utilisant des solutions "classiques" pour les enceintes, ce qui me parait hautement suspect, car sans guide d'onde, il me semble qu'un certain nombre de problèmes vont apparaitre en fonction de la pièce ET de la zone d'écoute. Mais là je me tourne vers Jean Marie pour avoir son avis... Je précise que le système DCW de Genelec modifie le rayonnement de telle sorte que le diagramme de dispersion soit constant et contrôlé à toutes les fréquences : la réponse hors-axe est plate, mais avec un niveau réduit par rapport à celui dans l'axe. Le résultat net est une aire de stabilité élargie de l'image stéréo. De plus, la réponse en puissance devient plus uniforme sans pics ou vallées sur les zones de coupure fréquentielles.
Ce que je sais, par exemple, chez les pros, pour faire court et chez Genelec pour que les choses soient encore plus claires et que je les ai cités en exemple ci-dessus, c'est qu'ils accordent une importance considérable à ce paramètre au point que toutes leurs enceintes ont bénéficié d'une étude spécifique à ce niveau... A ma connaissance, il n'y a pas de moyen "électronique" pour gérer simplement ce rayonnement...
Une écoute dans un environnement non-familier ne suffira sans doute pas à se faire une idée précise du réel résultat et dépenser près de 4000 € en risquant de se rendre compte que les problèmes apparaissent dans certains cas et pas d'autres...
Cordialement,
JM
JM