En audio comme en instrumentation, on cherche à respecter le signal, on cherche la fidélité. Un étage d'entrée à ampli-OP ce n'est pas "beau", c'est une puce et quelques composants. La complexité est dans la puce, pas dans la circuiterie qui va autour. Je le conçois, ce n'a rien de noble, mais c'est tellement plus facile à mettre en oeuvre et tellement efficace en toutes circonstances.
Lorsque j'ai débuté ma carrière, les spécialistes du domaines avaient tous 50 ou 60 ans, une expérience et un savoir faire incroyable et faisaient des merveilles avec des étages à transistors (je n'y comprenais rien d'ailleurs). Les puces performantes ont commencé petit à petit à arriver, les "vieux" sont partis en retraite avec leur savoir faire, plus un transistor n'a été mis en oeuvre et pourtant les performances n'ont cessé de croitre.
Ouvrez aujourd'hui n'importe quel appareil de métrologie et comptez les transis...
Ce qui m'amuse, c'est qu'on discute de choses en voie d'extinction. Avec le numérique et la musique dématérialisée, les étages d'entrée sont en voie d'extinction. On ne se posera plus la question !
Lorsque j'ai débuté ma carrière, les spécialistes du domaines avaient tous 50 ou 60 ans, une expérience et un savoir faire incroyable et faisaient des merveilles avec des étages à transistors (je n'y comprenais rien d'ailleurs). Les puces performantes ont commencé petit à petit à arriver, les "vieux" sont partis en retraite avec leur savoir faire, plus un transistor n'a été mis en oeuvre et pourtant les performances n'ont cessé de croitre.
Ouvrez aujourd'hui n'importe quel appareil de métrologie et comptez les transis...
Ce qui m'amuse, c'est qu'on discute de choses en voie d'extinction. Avec le numérique et la musique dématérialisée, les étages d'entrée sont en voie d'extinction. On ne se posera plus la question !