Joël,
c'est le terme "Analyse harmonique", relié à la notion de "distorsion harmonique" qui pose problème : le signal analysé n'étant pas périodique, on ne peut parler d'harmoniques. La terminologie "Harmonique" supposant un fondamental et des harmoniques (fréquences multiples entières de la fréquences fondamentale) impose un signal périodique. Dans ce cas seulement, on peut vérifier la création ou la modification des harmoniques.
Un signal non périodique ne disposant pas d'un fondamental et d'harmoniques (son spectre est continu), on ne peut déterminer la création ou modification de ses harmoniques, et donc on ne peut pas caractériser la distorsion harmonique d'un système par ce moyen. Tout ce qu'on va voir, c'est la modification du spectre du signal.
Ce qui me surprend, c'est que vous cherchez des moyens de caractériser le système, hors un système linéaire est intégralement défini par sa réponse impulsionnelle. Elle contient toute l'information sur le système. Vous pouvez tout aussi bien la réaliser soit par un sinus glissant (et j'entends que cette méthode vous perturbe parce qu'elle se base sur un sinus), que par une mesure en bruit blanc (ou rose), et dans ce cas je ne vois plus ce qui vous gêne, le signal étant aléatoire en amplitude et en phase et contient toutes les fréquences. Dans les deux cas le résultat est identique, et il caractérise intégralement le système.
Lorsque le système est non linéaire, alors effectivement cette méthode n'est pas suffisante (Rq : un ampli contre-réactionné par une fonction linéaire est un système linéaire).
c'est le terme "Analyse harmonique", relié à la notion de "distorsion harmonique" qui pose problème : le signal analysé n'étant pas périodique, on ne peut parler d'harmoniques. La terminologie "Harmonique" supposant un fondamental et des harmoniques (fréquences multiples entières de la fréquences fondamentale) impose un signal périodique. Dans ce cas seulement, on peut vérifier la création ou la modification des harmoniques.
Un signal non périodique ne disposant pas d'un fondamental et d'harmoniques (son spectre est continu), on ne peut déterminer la création ou modification de ses harmoniques, et donc on ne peut pas caractériser la distorsion harmonique d'un système par ce moyen. Tout ce qu'on va voir, c'est la modification du spectre du signal.
Ce qui me surprend, c'est que vous cherchez des moyens de caractériser le système, hors un système linéaire est intégralement défini par sa réponse impulsionnelle. Elle contient toute l'information sur le système. Vous pouvez tout aussi bien la réaliser soit par un sinus glissant (et j'entends que cette méthode vous perturbe parce qu'elle se base sur un sinus), que par une mesure en bruit blanc (ou rose), et dans ce cas je ne vois plus ce qui vous gêne, le signal étant aléatoire en amplitude et en phase et contient toutes les fréquences. Dans les deux cas le résultat est identique, et il caractérise intégralement le système.
Lorsque le système est non linéaire, alors effectivement cette méthode n'est pas suffisante (Rq : un ampli contre-réactionné par une fonction linéaire est un système linéaire).