Renardson MJR7-MK5
RE: Renardson MJR7-MK5
Grand_Floyd a écrit :Si ça peut aider :
http://www.ta-formation.com/cours/e-spectres.pdf
http://www.ta-formation.com/cours/c-bode.pdf
http://www.ta-formation.com/cours/m-reponse.pdf
http://www.ta-formation.com/cours/f-bruit.pdf
https://www.youtube.com/user/jipehemphyap
Merci Christian. ces documents sont très clairs et instructifs (je m'y plonge Wink)
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RE: Renardson MJR7-MK5
Avec un sinus 100Hz*1000Hz,
J'ai fait ça vite fait en rentrant,+ de temps ce week-end.

générer un produit dans LTspice (ou autre),
[Image: 171110053406927696.png]

Caler à t=0 le fichier .wav,
[Image: 171110053407854170.jpg]

Vérifier la FFT,au cas ou.
[Image: 171110053410804487.jpg]

tracer/générer les FFT glissantes (20 tranches*10ms=200ms,comme le fichier LTspice en .wav)
[Image: 171110053409847261.png]

Il faut compléter les explications (type de fenêtre et "calage" FFT),
Peut-être demain ou Dimanche.
Ce que je montre est vraiment du "vite fait"...

[Image: 171110055623121964.jpg]
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RE: Renardson MJR7-MK5
Thierry,

Merci pour ce premier jet.

en Impulse : j'arrive à caler mon burst 10 périodes sinus 1kHz à 0ms.
en SPL & Phase : je retrouve l'allure FFT de LTspice.
en Waterfall : je n'arrive pas à avoir une raie unique glissante sur 10 couches (10 slices; Time Range de 10ms; Windows de 1ms). Le spectre glissant reste assez proche de la FFT du burst.
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RE: Renardson MJR7-MK5
Détente
L'abus de multi-pseudos est dangereux pour la santé mentale, ... N'est-ce pas Tony Big Grin 
.
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RE: Renardson MJR7-MK5
Bonsoir à tous, cette analyse glissante prend tournure,

Utiliser des signaux musicaux est une pratique évidente pour juger des qualités d'un système électroacoustique depuis toujours.
Les enregistrements de haute qualité ne manquent pas.
Travailler avec des "signaux vrais" est important pour comprendre pourquoi et comment une telle différence est perçue à l'écoute des bons matériels.

Jean-Yves
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RE: Renardson MJR7-MK5
Bonsoir,
savez vous seulement ce que vous voulez mesurer, ce que représenteront les résultats obtenus, comment interpréter ces résultats. En gros quel protocole de mesure et quels conclusions en tirer ?
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RE: Renardson MJR7-MK5
jacquese a écrit :Existe-t-il des bancs de métrologie capable de réaliser des mesures de distorsion avec une fenêtre large (un grand nombre de périodes analysées) mais chaque mesure étant réalisée en décalant la fenêtre d'une seule période ? Cela permettrait de sortir des variations de distorsion entre chaque période tout en ayant la précision apportée par la grande taille de la fenêtre ?

Bonsoir Jacques,

la précision sera bonne, nombre de période important mais la sensibilité ne va pas être pas terrible. Le delta entre 2 périodes est toujours divisé par le nombre de période de la fenêtre.

Joël
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RE: Renardson MJR7-MK5
L'idée est de savoir s'il est possible (pas évident à mon avis) de différencier (montrer de façon claire) par des analyses la distorsion des électroniques en régime musical.
Pourquoi et comment la classe A (stabilité du point de repos, régime thermique établi) est elle différente de la classe D (modulation/commutation).
Que l'écoute soit plus discriminante que la mesure traditionnelle est pour le moins gênante...Hypothèse: on mesure pas (ou mal) ce qui compte...
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RE: Renardson MJR7-MK5
Reste le protocole ...
L'abus de multi-pseudos est dangereux pour la santé mentale, ... N'est-ce pas Tony Big Grin 
.
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RE: Renardson MJR7-MK5
J'entends bien, mais avant de penser "solutions" sans savoir comment exploiter le résultat, il faudrait avant tout penser "protocole" et définir comment exploiter les résultats.
Du temps-fréquence, il y a plein de manière de le faire. La FFT glissante comme vous l'envisagez est la moins pertinente car elle donne une résolution fréquentielle fixe, fixée par la taille de fenêtre d'analyse (on résout bien les hautes fréquences et mal les basses fréquences). Un Wigner-Ville est bien plus efficace car sa résolution fréquentielle est fonction des bandes de fréquences analysées (sa résolution est proportionnelle aux fréquences, on a donc une meilleure résolution relative temporelle et fréquentielle). Il y a aussi les ondelettes qui sont performantes, on ne travaille plus en fréquences (la projection ne se fait plus sur un espace d'exponentielles complexes orthogonal), mais dans un espace qu'on peut assimiler à des bandes de fréquences. L'avantage étant aussi qu'on peut adapter les ondelettes aux caractéristiques recherchées.
Mais quant on a dit tout ça, qu'est-ce qu'on va rechercher dans le résultat ? On compare le résultat par rapport à quoi ?

Pour vous amener à réfléchir : la mesure de distorsion harmonique est clairement définie : on injecte un sinus pur, dont on sait qu'il ne possède aucune harmonique. On regarde la sortie ; toute harmonique qui apparaît est une distorsion qu'on chiffre par un pourcentage par rapport au fondamental.
Idem pour la distorsion d'intermodulation : on injecte deux sinus correspondant à 2 raies pures et rien d'autre. En sortie, tout ce qui apparaît en dehors de ces raies, ou si le niveau de ces raies change, est de la distorsion.
Dans ces deux cas, la bande passante du signal injecté est largement dans la bande passante de l'ampli, donc pas de risques de modification du signal de sortie par un filtrage lié à la bande de l'ampli, qui serait normale et pourtant vue comme une modification de spectre. Dans les deux cas, les caractéristiques du signal en sortie d'un ampli idéal sont parfaitement connues, donc le résultat en sortie d'ampli réel est directement interprétable...
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