Mastering disque
#1
Mastering disque
Bonjour,
Un très bon article trouver sur un autre forum
http://forum.hardware.fr/hfr/Discussions...tm#t900706
Cela fait réfléchir, le monde n'est pas parfait !!!
Stéphane
Club double 16"
"Laissez les Bons Temps Rouler"
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#2
RE: Mastering disque
Merci,
Très instructif.
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#3
RE: Mastering disque
stéphane a écrit :Bonjour,
Un très bon article trouver sur un autre forum
http://forum.hardware.fr/hfr/Discussions...tm#t900706
Cela fait réfléchir, le monde n'est pas parfait !!!
Stéphane

Je fais également très attention au mastering des disques que j'achète...
Dans l'article il n'est que trop peu fait mention du Maitre du mastering Steve Hoffman! Celui des disque vinyles ou CD DCC ou Audio fidelity. Wink
http://www.stevehoffman.tv/
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#4
RE: Mastering disque
Bonjour screw_squirrel,
J'ai relus le début de cette article, il site le nom de Steve Hoffman :

"* Les grands noms : on peut mettre Bob Ludwig et Steve Hoffman dans cette catégorie. Ce sont les deux plus connus, les deux plus interviewés, et l'un comme l'autre mérite leur réputation. Chacun a son studio et bosse en free-lance. Côté consommateur, un gros moins pour Hoffman : étant le plus puriste des deux, il a bossé la majorité de sa carrière pour des labels audiophiles dont les disques sont un peu plus chers et à tirage limité. Une fois épuisés, leur prix sur le marché de l'occasion explose. Trouver ses masterings DCC Gold des Beach Boys, de Ray Charles ou de Joni Mitchell n'est pas évident et demande un porte-feuille bien garni."

Mais il ne pouvait pas sité toute la profession.
Stéphane
Club double 16"
"Laissez les Bons Temps Rouler"
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#5
RE: Mastering disque
stéphane a écrit :Bonjour screw_squirrel,
J'ai relus le début de cette article, il site le nom de Steve Hoffman :

"* Les grands noms : on peut mettre Bob Ludwig et Steve Hoffman dans cette catégorie. Ce sont les deux plus connus, les deux plus interviewés, et l'un comme l'autre mérite leur réputation. Chacun a son studio et bosse en free-lance. Côté consommateur, un gros moins pour Hoffman : étant le plus puriste des deux, il a bossé la majorité de sa carrière pour des labels audiophiles dont les disques sont un peu plus chers et à tirage limité. Une fois épuisés, leur prix sur le marché de l'occasion explose. Trouver ses masterings DCC Gold des Beach Boys, de Ray Charles ou de Joni Mitchell n'est pas évident et demande un porte-feuille bien garni."

Mais il ne pouvait pas sité toute la profession.
Stéphane

En effet! J'ai relu l'article...Big Grin
Thorens TD124 II, Denon DL 103, Transfo Pacific Audio, Teac VRDS 25, Bel Canto DAC3, McIntosh C34V, JBL M553, McIntosh MC2250, MC2255, Phase Linear PL400, JBL 4430 + 2123H + 2404H, tri-amplifiées.
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#6
RE: Mastering disque
Bonjour,
Un article plus technique sur le pré-mastering et mastering.
http://www.sounddesigners.org/index.php?...geid=23#3/
Bonne lecture.
Stéphane
Club double 16"
"Laissez les Bons Temps Rouler"
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#7
RE: Mastering disque
Bonjour,
Un autre article sur l'histoire et les méthodes de mastering :
http://cec.concordia.ca/pdf/La_pratique_...tering.pdf

Stéphane
Club double 16"
"Laissez les Bons Temps Rouler"
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#8
RE: Mastering disque
Il est marrant ce mec !
J'ai fini la section 1, je garde les autres pour demain.

Yves.
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#9
RE: Mastering disque
Très intéressant, plein de bon sens, et écrit avec humour...Vaut mieux parce qu'il y a de quoi s'arracher les cheveux et manger son chapeau avec la bandoulière.

Malheureusement il ne parle pas des enregistrements jazz et classique, il y aurait beaucoup à dire! Ne serait-ce que pour les vinyls déjà. Un disque pressé en Europe ou aux Etats Unis n'avait absolument pas le même son. Entre un "Festival" et un "Turnabout" la cantate de Bach 51 avec Ristenpart et Teresa Stich Randall, issu de la même bande, le son en est totalement différent. Sur la gravure "Festival" il y a plus d'espace et de réverbération et un médium dominant. Sur la gravure "Turnabout" les aigus sont dominants avec un rajout dans les graves. Comme si une même bande magnétique avait été lue par deux magnétophones différents!!!

Et puis le carnage de la stéréophonisation artificielle, de quoi pleurer pendant tout un Parsifal...De même que la décennie précédente avait sonné le glas du cinéma en colorisant les chefs d'oeuvres passés du cinéma noir et blanc( bande d'iconoclastes), les années soixante dix avaient stéréophonisé tous les enregistrements monophoniques avec un procédé abominable et abdominale, avec effet d'écho, léger décalage d'une voie sur l'autre, égalisation différente des deux voix, et compression par dessus le marché. Presque touts les labels avaient revisité leur catalogue avec ces procédés d'" iphonoclaste"...

J'avais à cette époque un disque des quatuors de Schubert par le Konzerthaus de Vienne, il était stéréophonisé. Son sec, avec résonance de couloir, peu de dynamique et dureté dans les aigus, effet stereophonique "choucroute"( On cherche encore les saucissesTongue). Dernièrement j'ai retrouvé l'intégrale de ces quatuors reéditée en CD chez Universal. Plus rien à voir, c'est un superbe mono, avec de très beaux timbres presque soyeux, n'a rien à envier au niveau véracité à un enregistrement stereo de qualité. Un très bon mono vaut mieux parfois que certains stereo multimicros.

Et puis la gravure universelle des années soixante dix n'avait déjà plus la qualité des premiers stereo. N'oublions pas que cette gravure universelle triche en passant en monophonie en dessous de deux cents hz.
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#10
RE: Mastering disque
stephane a écrit :Un autre article sur l'histoire et les méthodes de mastering :
http://cec.concordia.ca/pdf/La_pratique_...tering.pdf
J'en ai lu une bonne partie. Historique intéressant.

Il est assez amusant de lire comme traduction pour jitter "taux d'errance". Il y a un aspect errance, c'est certain, mais que fait la notion de taux ici ? Comment définir un 100 % ??? De toutes façons, la traduction officielle de jitter est gigue.

La notion d'échantillonnage est évoquée en faisant uniquement appel à l'intuition commune concernant la notion de signal analogique. Certainement le meilleur moyen pour susciter des réflexes contraires à ceux d'une intuition nourrie par Fourier et Shannon !

La dynamique correspondant à 16 bits n'est qu'approximativement de 96 dB. Faut-il ré-écrire le calcul ? Le résultat est un peu supérieur : 98 dB. Détail, certes, mais qui montre que le point n'a pas été creusé.

Dans la partie concernant le niveau de différents CD, l'auteur s'étonne d'un CD pour lequel le 0 dB (niveau maximum) est atteint, une seule fois (donc, par une crête de puissance, une seule fois). Ce cas correspond à la meilleure utilisation possible de la dynamique du CD. La question du niveau moyen, que l'utilisateur pourait souhaiter égal d'un CD à l'autre, est-elle si importante ???

Thierry
J'aime mille sons... alors j'ai mis le son.
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