Bonjour à tous,
Personne n'a dit que le Hiraga 20W serait le seul bon ampli.
La réjection est ce qu'elle est ! Ce n'est pas un ampli-op a usage général. Donc il convient d'analyser l'ampli Hiraga comme un tout : le circuit + son alimentation. Trop facile de sortir un éléments de son tout pour mieux le critiquer... Si l'alim est faite pour que la réjection du circuit amplificateur ne pose pas de problème, il n'y a rien à redire.
J'ai un ampli à la maison dont le PSRR du circuit ampli est plutôt faible. Mais l'ampli a été conçu pour consommer un courant constant, ce qui fait que l'alim fournit un une tension superbement constante. C'est donc un conception qui privilégie la constance la tension fournie par l'alim plutôt que le PSRR du circuit ampli. Au final c'est parfait à la sortie de l'ampli. En quoi Est-ce que le PSRR de cette réalisation est critiquable ?
Jacques
forr a écrit :L'ampli Mosfet de Mike Renardson ne comprend que 7 transistors
Son gain de boucle énorme et la façon simple dont il est obtenue
lui garantissent une distorsion ultra-faible et une stabilité impeccable.
Son condensateur de sortie protège les haut-parleurs de toute tension continue. Ce condensateur est inclus dans la boucle de contre-réaction, la distorsion qu'il peut introduire, déjà faible en soi est du coup infinitésimale. Un circuit annexe empêche tout ploc destructeur à l'allumage et à l'exctinction. L'impédance de sortie donne un Facteur d'Amorstissement du genre 200 à 300.
Son alimentation peut être aussi grosse que l'on veut. A 4700 µ en stéréo, elle ne se traduit par aucune ronflette en sortie.
Personne n'a dit que le Hiraga 20W serait le seul bon ampli.
forr a écrit :A ce props, je serais curieux de connaître la réjection d'alimentation intrinsèque du circuit classe A Hiraga.
La réjection est ce qu'elle est ! Ce n'est pas un ampli-op a usage général. Donc il convient d'analyser l'ampli Hiraga comme un tout : le circuit + son alimentation. Trop facile de sortir un éléments de son tout pour mieux le critiquer... Si l'alim est faite pour que la réjection du circuit amplificateur ne pose pas de problème, il n'y a rien à redire.
J'ai un ampli à la maison dont le PSRR du circuit ampli est plutôt faible. Mais l'ampli a été conçu pour consommer un courant constant, ce qui fait que l'alim fournit un une tension superbement constante. C'est donc un conception qui privilégie la constance la tension fournie par l'alim plutôt que le PSRR du circuit ampli. Au final c'est parfait à la sortie de l'ampli. En quoi Est-ce que le PSRR de cette réalisation est critiquable ?
Jacques