10/04/2016-18:11:54
Le tube n'est pas mort (ou l'audiophile qui court après sa queue)
Bonjour à tous,
Ce matin, l'ami Olivier (leedh) est venu chez moi pour quelques heures d'écoute. Nous avons écouté une bonne heure de musique avec mon ensemble régulier avec le Kanéda 228+ en son cœur. Après cela, nous avons remplacé le 228+ par les mono-blocs 300B de la Maison de l'Audiophile (full Partridge) que le dit invité avait apportés.
Wow!!! J'ai trouvé le rendu de ces mono-blocs extrêmement musicaux. Une magie s'est littéralement installée à l'écoute de la musique via ceux-ci. De meilleurs timbres instrumentaux, une présence et une dynamique à revendre, une sensation d'immersion ajoutée. Bref, du bon bonbon.
Je suis content qu'Olivier m'ait fait découvrir ces mono-blocs 300B chez moi, car je n'avais entendu que mes PSE 300B ici, jamais de mono-triode. Et je dois admettre que ceux-ci vont nettement plus loin que les PSE.
Quant à une comparaison des 300B Maison de l'Audiophile avec le 228+, étrangement, lors d'une écoute chez Olivier cet hiver sur ses VOT, celle-ci n'avait pas donné une différence aussi tranchée. Mais cette fois, cela nous est sauté aux oreilles!
Ainsi, sur les Onken, c'était pure joie. Certes, le 228+ présente un avantage sur la basse et sa présentation est un peu plus équilibrée dans l'ensemble du spectre, mais je dois admettre que de superbes qualités émanaient de ces mono-blocs de la Maison de l'Audiophile.
Enfin, où me situer comme audiophile dans tout cela? Telle est la question. Dans mon parcours relativement court, une douzaine d'années, j'ai connu les amplis à transistors et ensuite le tube. Il fut un temps ou j'ai pu essayer de très très bons amplis en transistor classe A. Malgré tout, la suite fut un retour aux tubes, ces derniers offrant des qualités musicales que les transistors n'offraient pas.
Vint ensuite la construction de mes PSE 300B entrevue comme un aboutissement et ce, jusqu'au plongeon dans la fabuleuse œuvre de Kanéda. Et maintenant, voilà la magie de la 300B en mono-triode qui m'a happée.
Suis-je condamné à passer ma vie d'audiophile à courir après ma queue?...
Sébastien
Ce matin, l'ami Olivier (leedh) est venu chez moi pour quelques heures d'écoute. Nous avons écouté une bonne heure de musique avec mon ensemble régulier avec le Kanéda 228+ en son cœur. Après cela, nous avons remplacé le 228+ par les mono-blocs 300B de la Maison de l'Audiophile (full Partridge) que le dit invité avait apportés.
Wow!!! J'ai trouvé le rendu de ces mono-blocs extrêmement musicaux. Une magie s'est littéralement installée à l'écoute de la musique via ceux-ci. De meilleurs timbres instrumentaux, une présence et une dynamique à revendre, une sensation d'immersion ajoutée. Bref, du bon bonbon.
Je suis content qu'Olivier m'ait fait découvrir ces mono-blocs 300B chez moi, car je n'avais entendu que mes PSE 300B ici, jamais de mono-triode. Et je dois admettre que ceux-ci vont nettement plus loin que les PSE.
Quant à une comparaison des 300B Maison de l'Audiophile avec le 228+, étrangement, lors d'une écoute chez Olivier cet hiver sur ses VOT, celle-ci n'avait pas donné une différence aussi tranchée. Mais cette fois, cela nous est sauté aux oreilles!
Ainsi, sur les Onken, c'était pure joie. Certes, le 228+ présente un avantage sur la basse et sa présentation est un peu plus équilibrée dans l'ensemble du spectre, mais je dois admettre que de superbes qualités émanaient de ces mono-blocs de la Maison de l'Audiophile.
Enfin, où me situer comme audiophile dans tout cela? Telle est la question. Dans mon parcours relativement court, une douzaine d'années, j'ai connu les amplis à transistors et ensuite le tube. Il fut un temps ou j'ai pu essayer de très très bons amplis en transistor classe A. Malgré tout, la suite fut un retour aux tubes, ces derniers offrant des qualités musicales que les transistors n'offraient pas.
Vint ensuite la construction de mes PSE 300B entrevue comme un aboutissement et ce, jusqu'au plongeon dans la fabuleuse œuvre de Kanéda. Et maintenant, voilà la magie de la 300B en mono-triode qui m'a happée.
Suis-je condamné à passer ma vie d'audiophile à courir après ma queue?...
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"Il y a dans le dialogue une forme d'ouverture de soi à l'autre, et réciproquement, qu'on ne trouve pas dans le débat et la discussion." -Dominique Garand
https://onken.info/
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