13/08/2014-12:57:44
Les noyaux magnétiques et bobinages
Salut,
Je profite des vacances pour réfléchir à de futurs bricolages et en regardant des sujets sur le net, je m'aperçois que je n'ai pas les idées très claires sur le sujet des transfo et self parmi la très grande variété de ce qui est disponible aujourd'hui sur le marché...
J'aimerais avoir des avis, si possible "techniquement fiable" sur la nature des noyaux et des bobinages pour réaliser des transfos et selfs audio d'excellentes qualité
Pour le moment, je ne m'intéresse pas au prix (!!) ni au marketing audiophile souvent un peu "foireux" sur ce type de sujet technique...
Noyaux:
Il existe plusieurs matériaux
- tôles au silicium classiques de différentes épaisseurs.
- noyaux amorphes
- noyaux metglass ou nanocristallins
- noyaux permalloy / mumétal divers selon le taux de nickel
Quels sont les principales caractéristiques comparatives de ces matériaux pour un usage "audio"?
Y a t-il un intérêt à en retenir l'un plutôt que les autres pour des selfs de filtrage basse tension et fort courant....
On voit souvent du permalloy pour des petits transfo "signal" sans DC, mais rarement pour des "gros bazars".
L'amorphe a l'air intéressant mais dans quelles limites ?
Quel est l'intérêt de tenter de réduire au minimum l'épaisseur des tôles des noyaux en silicium classique?
Bobinage:
Le classique c'est le cuivre monobrin de section adaptée, sans parler de l'argent maintenant assez courant mais sur lequel j'ai toujours un peu de suspicion...
Y a-t-il un intérêt à retenir des bobinages en fil de Litz par exemple qui diminue les effets de peau sur des sections assez importantes et est censé limiter les courants de Foucault?
Les spécialistes du bobinage ici bas pourraient-ils me donner leurs avis éclairés sur ces sujets assez généraux.
Je cherche à définir les caractéristiques principales de selfs de quelques Henry et quelques ampères DC (typiquement 1-2H et 2-3A DC) présentant mes meilleurs performances possibles...
Merci d'avance pour vos avis.
Julien
Je profite des vacances pour réfléchir à de futurs bricolages et en regardant des sujets sur le net, je m'aperçois que je n'ai pas les idées très claires sur le sujet des transfo et self parmi la très grande variété de ce qui est disponible aujourd'hui sur le marché...
J'aimerais avoir des avis, si possible "techniquement fiable" sur la nature des noyaux et des bobinages pour réaliser des transfos et selfs audio d'excellentes qualité
Pour le moment, je ne m'intéresse pas au prix (!!) ni au marketing audiophile souvent un peu "foireux" sur ce type de sujet technique...
Noyaux:
Il existe plusieurs matériaux
- tôles au silicium classiques de différentes épaisseurs.
- noyaux amorphes
- noyaux metglass ou nanocristallins
- noyaux permalloy / mumétal divers selon le taux de nickel
Quels sont les principales caractéristiques comparatives de ces matériaux pour un usage "audio"?
Y a t-il un intérêt à en retenir l'un plutôt que les autres pour des selfs de filtrage basse tension et fort courant....
On voit souvent du permalloy pour des petits transfo "signal" sans DC, mais rarement pour des "gros bazars".
L'amorphe a l'air intéressant mais dans quelles limites ?
Quel est l'intérêt de tenter de réduire au minimum l'épaisseur des tôles des noyaux en silicium classique?
Bobinage:
Le classique c'est le cuivre monobrin de section adaptée, sans parler de l'argent maintenant assez courant mais sur lequel j'ai toujours un peu de suspicion...
Y a-t-il un intérêt à retenir des bobinages en fil de Litz par exemple qui diminue les effets de peau sur des sections assez importantes et est censé limiter les courants de Foucault?
Les spécialistes du bobinage ici bas pourraient-ils me donner leurs avis éclairés sur ces sujets assez généraux.
Je cherche à définir les caractéristiques principales de selfs de quelques Henry et quelques ampères DC (typiquement 1-2H et 2-3A DC) présentant mes meilleurs performances possibles...
Merci d'avance pour vos avis.
Julien