(suite)
Chez Dominique, Nous avons d'abord écouté le N°209. On sent que le système a beaucoup évolué depuis l'introduction du N°209. L'écoute de celui-ci est somptueuse.
Pour commencer, Dominique veut nous surprendre avec le pourtant bien connu disque Sheffield Lab 14. Franchement, on se demande bien commande un amplificateur de seulement 14 Watts va pouvoir driver de telles enceintes sur ce genre de passage. Mais on se prend rapidement à rentrer la tête dans les épaules pour anticiper les coups de baguettes sur les peaux, tellement le réalisme de cette batterie enregistrée très près surprend par la netteté des attaques et l'énergie qui en ressort, tout ça à un volume d'écoute assez important. Puis nous écoutons bien d’autres styles de disque, mais le N°209 se joue des difficultés et procure sans doute possible une écoute de très grande classe.
Pour en avoir le cœur net, nous passons au N°228+. Le chalenge est difficile.
Dès les 1ères secondes, Dominique me regarde, je hoche la tête. Oui, il se passe quelque chose. Ce n’est pas noir ou blanc, mais c'est tout de même suffisamment réel pour que nous puissions remarquer par la suite ce changement à chacun de nos passages de l’un à l’autre de ces deux amplis. Jean-Marc, pourtant peu habitué aux écoutes comparatives, mais aidé par l'habitude d’écoute du grand mélomane qu'il est, acquiesce. Ce N°228+, c’est du très lourd, plus d’énergie, des timbres qui sont encore plus réels, et plus d’air…
Un petit pas de plus pour un système, un grand pas de plus vers la vérité audiophile...
Convaincus, nous passons alors au N°224, mais les difficultés narrées plus haut nous obligent à modifier le système pour pouvoir l'écouter, et comme le temps passe, nous voilà obligé d’écourter celui consacré à cet ampli N°224.
En voici malgré tout un petit condensé. Une fois le convertisseur externe mis en place, l’écoute se rapproche vraiment de celle du N°228+, même dynamique proche du réel, même clarté, mais avec deux différences, un peu plus de poids dans le bas du spectre, ce qui peut être appréciable lors de l’écoute de passage ou la puissance du N°224 peut s’exprimer. Par contre, il me semble que les timbres du N°228+ sont encore un petit cran au-dessus. Mais à vrais dire, je crois qu'ils sont au-dessus de tout ce que j’ai pu entendre !
Cependant, il y a un biais dans ce comparatif, le convertisseur a changé! J’ai donc prévu de réécouter le N°224 chez moi, sur mes petits enceintes Diatone ou sur d'autres enceintes, et de faire un comparatif plus étoffé, j’espère d’ici fin août.
En attendant, s'il est facilement possible de différencier leur écoute, il me semble tout de même compliqué de vouloir classer ces différents appareils entre eux, non pas parce qu'ils sonnent tous pareils, les différences sont bien tangibles, mais parce qu'ils ne sont pas tous fait pour faire la même chose, mono ou multiamplification, grave ou voies supérieures, moyen ou haut rendement...
(La suite bientôt)
Chez Dominique, Nous avons d'abord écouté le N°209. On sent que le système a beaucoup évolué depuis l'introduction du N°209. L'écoute de celui-ci est somptueuse.
Pour commencer, Dominique veut nous surprendre avec le pourtant bien connu disque Sheffield Lab 14. Franchement, on se demande bien commande un amplificateur de seulement 14 Watts va pouvoir driver de telles enceintes sur ce genre de passage. Mais on se prend rapidement à rentrer la tête dans les épaules pour anticiper les coups de baguettes sur les peaux, tellement le réalisme de cette batterie enregistrée très près surprend par la netteté des attaques et l'énergie qui en ressort, tout ça à un volume d'écoute assez important. Puis nous écoutons bien d’autres styles de disque, mais le N°209 se joue des difficultés et procure sans doute possible une écoute de très grande classe.
Pour en avoir le cœur net, nous passons au N°228+. Le chalenge est difficile.
Dès les 1ères secondes, Dominique me regarde, je hoche la tête. Oui, il se passe quelque chose. Ce n’est pas noir ou blanc, mais c'est tout de même suffisamment réel pour que nous puissions remarquer par la suite ce changement à chacun de nos passages de l’un à l’autre de ces deux amplis. Jean-Marc, pourtant peu habitué aux écoutes comparatives, mais aidé par l'habitude d’écoute du grand mélomane qu'il est, acquiesce. Ce N°228+, c’est du très lourd, plus d’énergie, des timbres qui sont encore plus réels, et plus d’air…
Un petit pas de plus pour un système, un grand pas de plus vers la vérité audiophile...
Convaincus, nous passons alors au N°224, mais les difficultés narrées plus haut nous obligent à modifier le système pour pouvoir l'écouter, et comme le temps passe, nous voilà obligé d’écourter celui consacré à cet ampli N°224.
En voici malgré tout un petit condensé. Une fois le convertisseur externe mis en place, l’écoute se rapproche vraiment de celle du N°228+, même dynamique proche du réel, même clarté, mais avec deux différences, un peu plus de poids dans le bas du spectre, ce qui peut être appréciable lors de l’écoute de passage ou la puissance du N°224 peut s’exprimer. Par contre, il me semble que les timbres du N°228+ sont encore un petit cran au-dessus. Mais à vrais dire, je crois qu'ils sont au-dessus de tout ce que j’ai pu entendre !
Cependant, il y a un biais dans ce comparatif, le convertisseur a changé! J’ai donc prévu de réécouter le N°224 chez moi, sur mes petits enceintes Diatone ou sur d'autres enceintes, et de faire un comparatif plus étoffé, j’espère d’ici fin août.
En attendant, s'il est facilement possible de différencier leur écoute, il me semble tout de même compliqué de vouloir classer ces différents appareils entre eux, non pas parce qu'ils sonnent tous pareils, les différences sont bien tangibles, mais parce qu'ils ne sont pas tous fait pour faire la même chose, mono ou multiamplification, grave ou voies supérieures, moyen ou haut rendement...
(La suite bientôt)
Cordialement
Gilles
Mon système : de la musique, et quelques bricoles pour l'écouter...
Gilles
Mon système : de la musique, et quelques bricoles pour l'écouter...