19/07/2014-12:35:31
(Modification du message : 19/07/2014-13:15:22 par Les Amis du Son.)
RE: Infraflex
Merci Julien, c'est exactement ça.
On voit sur leur site http://www.teragaki-takeshi.jp/works/speakers.html l'image de leur produit typique :
- un bâti en bois massif et visiblement de poids élevé, sans doute pour offrir un contrepoids suffisant aux déplacements de la membrane de grande surface,
- auquel sont fixés plusieurs haut-parleurs classiques avec saladier et moteur (très costaud),
- reliés à une membrane légère en bandes fines de bambou, rigidifiée par un réseau très structuré de nervures du même bois.
On voit clairement (cliquez sur les photos pour agrandir) que la membrane est libre, sans suspension qui la rattache au bâti en bois. Elle est tenue/soutenue par des tiges qui appartiennent aux haut-parleurs, et qui viennent s'insérer dans des plots situés aux points de convergence des nervures. Les hp n'ont plus de cône, une suspension occupe tout le sommet du saladier qui soutient la tige en son centre, tige qui doit être à l'autre bout assujettie à la bobine mobile arrière.
On voit également que la membrane unique large-bande est dans quelques exemplaires évidée en son centre pour laisser passer l'embouchure d'un tweeter, dans une configuration concentrique ou non. Autrement, le tweeter est extérieur.
Cette idée peut sans problème être reprise avec une plaque en PSE tenue par des hp aux 4 coins. Ce procédé est fonctionnellement le même que celui utilisé par Etienne, en utilisant un hp unique, avec son pot de faisselle (?) rempli de mousse qui lie le fond du cône à la plaque de PSE. Les moyens sont très sophistiqués chez Teragaki, mais le principe est identique.
Reste à trouver pour nos bricolages low-cost à la française un système qui ne se contente plus de mouvoir la plaque de PSE mais assure aussi son maintien, afin de s'affranchir de toute suspension et de toute contrainte liée à sa fixation. Des hp avec une construction solide de l'ensemble cône/spider/suspension au saladier devraient être en mesure de supporter et maintenir en place une plaque de PSE, via un pot de faisselle ou autre moyen équivalent . Chez Casto pour se fixer les idées, une plaque PSE de 1m sur 60 cm (un peu moins que la surface frontale des caisses VOT) fait 120 grammes en 3 cm d'épaisseur, soit 30 grammes par hp si on en met un à chaque coin, ou encore 40 grammes si on en aligne trois sur son axe median.
On voit sur leur site http://www.teragaki-takeshi.jp/works/speakers.html l'image de leur produit typique :
- un bâti en bois massif et visiblement de poids élevé, sans doute pour offrir un contrepoids suffisant aux déplacements de la membrane de grande surface,
- auquel sont fixés plusieurs haut-parleurs classiques avec saladier et moteur (très costaud),
- reliés à une membrane légère en bandes fines de bambou, rigidifiée par un réseau très structuré de nervures du même bois.
On voit clairement (cliquez sur les photos pour agrandir) que la membrane est libre, sans suspension qui la rattache au bâti en bois. Elle est tenue/soutenue par des tiges qui appartiennent aux haut-parleurs, et qui viennent s'insérer dans des plots situés aux points de convergence des nervures. Les hp n'ont plus de cône, une suspension occupe tout le sommet du saladier qui soutient la tige en son centre, tige qui doit être à l'autre bout assujettie à la bobine mobile arrière.
On voit également que la membrane unique large-bande est dans quelques exemplaires évidée en son centre pour laisser passer l'embouchure d'un tweeter, dans une configuration concentrique ou non. Autrement, le tweeter est extérieur.
Cette idée peut sans problème être reprise avec une plaque en PSE tenue par des hp aux 4 coins. Ce procédé est fonctionnellement le même que celui utilisé par Etienne, en utilisant un hp unique, avec son pot de faisselle (?) rempli de mousse qui lie le fond du cône à la plaque de PSE. Les moyens sont très sophistiqués chez Teragaki, mais le principe est identique.
Reste à trouver pour nos bricolages low-cost à la française un système qui ne se contente plus de mouvoir la plaque de PSE mais assure aussi son maintien, afin de s'affranchir de toute suspension et de toute contrainte liée à sa fixation. Des hp avec une construction solide de l'ensemble cône/spider/suspension au saladier devraient être en mesure de supporter et maintenir en place une plaque de PSE, via un pot de faisselle ou autre moyen équivalent . Chez Casto pour se fixer les idées, une plaque PSE de 1m sur 60 cm (un peu moins que la surface frontale des caisses VOT) fait 120 grammes en 3 cm d'épaisseur, soit 30 grammes par hp si on en met un à chaque coin, ou encore 40 grammes si on en aligne trois sur son axe median.
'Préampli' RX1602 Behringer. Filtre actif DCX2496+DEQ2496 correction de salle. VOTT 828, 416-8b+Topping Tp60, IPC LU 1104 sur 1005 sablés+FiiO A1, 2405+Lepai. En option: Grand Infraplanar sur voie grave à la place des 416 +Topping TP60.