27/10/2012-12:45:05
RE: Qu'est-ce que vous écoutez en ce moment précis?
En ce moment j'écoute des vinyles trouvés au marché de Wazemmes à Lille. entre autres disques fabuleux, quatre perles de la prise de son des années cinquante et soixante.
De fameux Mercury gravés et pressés à la fin des années soixante, excellent report. J'ai pu comparer un même disque Mercury, La 3eme symphonie de Saint Saens direction Paul Paray, avec un autre pressage et pochette que j'avais dejà et qui s'avère moins bon, manque de dynamique et de couleurs.
C'est souvent le cas pour les vinyles, on peut trouver de grosses différences sonores pour un même enregistrement dans des gravures différentes!
J'ai en tête un disque "Magnificat" de Bach avec Teresa Stich Randal et Karl Ristenpart, en pressage "Turnabout", le médium est creusé au profit des graves et aigu, en pressage "Festival"le medium est nettement en avant et l'équilibre est plus sombre, et dans un pressage Allemand l'ensemble est plus clair.
Là j'écoute un vinyle Mercury, Airs et danses pour luth, mais ici adaptés à l'orchestre par le compositeur Ottorino Respighi, ici le philarmonia Hungarica dirigé par Antal Dorati.
![[Image: 611k%2BQC%2B-RL._SL500_AA300_.jpg]](http://ecx.images-amazon.com/images/I/611k%2BQC%2B-RL._SL500_AA300_.jpg)
C'est superbe, image très large, l'orchestre est dans la pièce, les couleurs sont si justes. Quand je vois la majorité des enregistrements de prise d'orchestre aujourd'hui malgré la qualité technologique qu'on a atteint, on n'est même pas fichu de créer des disques qui ont cette magie...il en existe certe, mais vraiment pas nombreux.
Comparé au CD, je préfère le vinyle qui de plus est dans un état de conservation impeccable, quasiment neuf !
C'est un fait incontournable depuis que je me suis construit des pavillons, ils sont vraiment la voix et la voie royale pour apprécier un enregistrement.
Car ils restituent sans détour jusqu'à nos oreilles les vagues ondulantes, les flots et les océans de la musique
.
Bientôt je pavillonne ma voix grave...
De fameux Mercury gravés et pressés à la fin des années soixante, excellent report. J'ai pu comparer un même disque Mercury, La 3eme symphonie de Saint Saens direction Paul Paray, avec un autre pressage et pochette que j'avais dejà et qui s'avère moins bon, manque de dynamique et de couleurs.
C'est souvent le cas pour les vinyles, on peut trouver de grosses différences sonores pour un même enregistrement dans des gravures différentes!
J'ai en tête un disque "Magnificat" de Bach avec Teresa Stich Randal et Karl Ristenpart, en pressage "Turnabout", le médium est creusé au profit des graves et aigu, en pressage "Festival"le medium est nettement en avant et l'équilibre est plus sombre, et dans un pressage Allemand l'ensemble est plus clair.
Là j'écoute un vinyle Mercury, Airs et danses pour luth, mais ici adaptés à l'orchestre par le compositeur Ottorino Respighi, ici le philarmonia Hungarica dirigé par Antal Dorati.
C'est superbe, image très large, l'orchestre est dans la pièce, les couleurs sont si justes. Quand je vois la majorité des enregistrements de prise d'orchestre aujourd'hui malgré la qualité technologique qu'on a atteint, on n'est même pas fichu de créer des disques qui ont cette magie...il en existe certe, mais vraiment pas nombreux.
Comparé au CD, je préfère le vinyle qui de plus est dans un état de conservation impeccable, quasiment neuf !
C'est un fait incontournable depuis que je me suis construit des pavillons, ils sont vraiment la voix et la voie royale pour apprécier un enregistrement.
Car ils restituent sans détour jusqu'à nos oreilles les vagues ondulantes, les flots et les océans de la musique
.Bientôt je pavillonne ma voix grave...