Bonjour à tous,
Nous étions partis ce samedi 17 juin 2017 à l’aube, tels 5 chevaliers de l’audiophilie en quête du Graal, décidés à en découdre avec une installation audio que l’on nous avait présentée comme l’une des meilleures : celle de Monsieur Marcel Roggero…
Mais à l’arrivée, point d’installation détectable par nos oreilles affutées…déception ? Bien au contraire, une invitation VIP à une succession de concerts en direct dans leur environnement naturel !!
Voilà en résumé l’impression générale de cette session d’écoutes mémorable.
Lorsque l’on assiste à un concert de Diana Krall, se pose-t-on des questions sur la qualité de restitution de son timbre de voix et de ses musiciens ? Non ! Ils sont devant nous.
Lorsque l’on assiste à un concert de piano à Pleyel, se pose-t-on des questions sur la qualité de restitution de l’instrument ? Non : nous sommes en direct dans un lieu mythique dédié à la musique.
Lorsque l’on assiste à un concert d’orgues à Notre Dame de Paris, se pose-t-on des questions sur le réalisme de restitution de l’infra grave ? Non !
Nous sommes dans le lieu idéal pour que l’instrument puisse donner le meilleur de lui-même.
Chez Monsieur Roggero, pas de questions inutiles non plus !!
On ne cherche pas à décortiquer le spectre sonore et à qualifier tel ou tel registre de bon, de charnel, de moelleux, de présent ou d’absent, car tout est intégré, tout est à sa place. Système quatre voix, certes, mais au final, un ensemble cohérent parfait avec des recoupements indiscernables de l’extrême grave à l’extrême aigu.
Point de magie ou de chance ici !
Le Maître des lieux nous explique avec grande modestie toute la démarche intellectuelle aboutissant à ce résultat :
L’idée de génie, point de départ de cette installation, est à n’en pas douter la construction d’un auditorium hors pair où tout est calculé, pensé, optimisé. Bien entendu, les dimensions sont très certainement idéales, mais c’est surtout cette intégration de la partie grave dans la maçonnerie avec retour de l’onde arrière dans l’auditorium et décompression extérieure qui force le respect.
Le grave et l’extrême grave s’expriment naturellement et profondément, sans nécessité de monter le volume et sans pression inconfortable sur les tympans.
La partie medium/aigu n’est pas en reste puisque la salle est « polarisée » avec une alternance de surfaces absorbantes faisant front aux transducteurs et des surfaces réfléchissantes dirigées vers la zone d’écoute.
Le réglage minutieux des paramètres fréquences de coupure/niveaux/pentes/phase est très probablement le second élément prépondérant dans la contribution au résultat final. Le filtre numérique Accuphase fait ici des merveilles grâce à un paramétrage affiné au mieux par des mesures.
On a le sentiment que, compte tenu du soin accordé aux deux premiers éléments, local d’écoute et réglages, le choix du matériel, même s’il a fait aussi l’objet d’attentions particulières comme nous l’a expliqué Monsieur Roggero, semble de moindre importance et que d’autres matériels hauts de gamme pourraient aussi s’exprimer de façon idéale.
Un grand merci à Marcel, Dan et Gérard. Oui, les 5 chevaliers ont trouvé le Graal !! Nous savons maintenant qu’il existe une installation qui réalise le rêve après lequel nous courons tous : une invitation au concert à domicile, rien de plus…rien de moins… !
Mais nous n’étions pas au bout de nos surprises et la visite des installations de Dan, atelier et auditoriums, nous ont totalement émerveillés.
Passionnant de voir la naissance de matériels haut de gamme réalisés de façon artisanale, dans le bon sens du terme, avec une totale maîtrise de la technique et mettant en œuvre des idées originales et pertinentes comme le découplage des superbes enceintes sur leur support.
Tous ces matériels sont présentés dans un écrin insolite et magnifiquement restauré, un ancien moulin !
Bravo !!
Bruno
Bonjour amis audiophiles,
Tout l’essentiel a été décrit par Bruno, mais pour ma part j’insisterai sur 2 points :
Le premier est que lorsque je me suis assis face à ces douze 38cm, je me suis dit, on va décoller ! Et en fait il n’en est rien : ce système n’impressionne pas dans ce sens-là, il n’en surajoute jamais, il impressionne pour son Naturel et sa Justesse, uniquement la Vérité, rien plus, rien de moins.
Le deuxième point est que j’ai voyagé pendant près de 3 heures, à chaque prise de son, chaque lieu d’enregistrement. Que ce soit l’orgue d’André Isoir dans une église, un live de Camille au Trianon ou « Orly » de Brel en studio, chaque réverb’, chaque respiration était ressentie et j’étais littéralement projeté d’une salle à une autre faisant face à l’artiste et son instrument. J’aurais pu faire la différence d’un enregistrement absolument identique selon s’il avait été enregistré au Théâtre de Fourvière ou celui de Vienne.
Le jeu des trompettistes laissant le premier plan à Brel était vraiment bluffant. Ils étaient là devant nous, derrière Brel mais grandeur nature.
Rien ne déborde jamais. Aucune tonique, aucune bosse ici ou là. Ce système, pourtant si volumineux, s’efface, s’évapore même pour laisser place à la Musique. C’est dans ce sens-là que ce système est IM-PRE-SSIO-NNANT ! Je vous avouerai même avoir laissé échapper une larme sur la Danse Macabre de Saint Saëns, le dernier morceau que Marcel a choisi en guise de final et que j’ai eu l’opportunité de voir en concert très récemment.
A l’écoute du système de Dan, ce fut cruel pour lui. On ne peut pas passer derrière l’écoute de Marcel Roggero : on repasse inévitablement de l’écoute d’un concert à l’écoute d’un système même si l’on ne peut que reconnaitre que son installation est des plus musicales.
Marcel Roggero nous a transporté ou devrais-je dire téléporté au bout du chemin en atteignant la VERITE. Nous autres amis audiophiles, ne ferons que l’approcher tout au mieux. Il est notre guide et demeurera notre Maître à tous.
On a beaucoup entendu parler des prestigieuses installations Japonaises mais sincèrement, je ne vois pas ce que l’on peut obtenir de mieux que la perfection atteinte par MONSIEUR ROGGERO. Je me sens d’autant plus veinard car je me dis que j’ai probablement entendu la Meilleure Installation Haute-Fidélité au Monde !
Au retour de ce voyage, je me suis empressé de mettre Brel sur ma source pourtant plus prestigieuse que celle de Marcel… Les Trompettistes d’Orly étaient si flous et si petits…
Pour ma part, je vais attendre quelques semaines avant de mettre un deuxième disque et tenter de me nourrir de mauvais sons afin de retrouver des qualités à mon système, peut-être au retour de vacances. Snifffffff !
Encore une fois, il faut en tirer les bonnes leçons et investir au bon endroit. Je suis certain que j’aurai su me contenter de mon système s’il avait bénéficié de l’acoustique de Marcel.
J’attire donc votre attention sur ce point précis car il convient toutefois de tempérer : si Marcel Roggero nous a montré la voie à suivre pour obtenir l’écoute la plus musicale jamais atteinte, ce n’est pas au détriment des sommes déboursées… Pour moi, le système possédant le meilleur rapport musicalité/prix est celui que Jean-Pierre, allias le chauffeur de cathodes a mis au point. Allez donc écouter chez lui, regardez l’acoustique de la pièce dans laquelle il œuvre et demandez-lui donc combien ça lui a coûté. Vous seriez bien étonnés voire même écœurés ! L’ensemble du Club De Haut-Rendement de Lyon ne me contredira pas sur ce point-là, le système de Jean-Pierre est à ce titre aussi vénérable que celui de Marcel Roggero.
Un grand MERCI à Gérard, Dan et tous les intermédiaires qui ont permis de m’offrir le privilège de découvrir cette Installation UNIQUE ! J’en avais toujours rêvé depuis sa première parution dans l’Audiophile et pensais cela impossible à approcher. Comme quoi, il ne faut jamais dire jamais…
Fabien
Bonjour à tous,
Le système de Dan est en perpétuel changement. Le passage en 5 voies permet de descendre très bas. Dans une écoute entièrement dématérialisée c’est important car un nouveau système de codage arrive : le DHD en 1024 (https://dhd.audio/).
Nous avons été fortement impressionnés même si à l’heure actuelle il n’existe que très peu d’enregistrements. Si vous passez vers Cannes et Grasse, n’hésitez pas à lui rendre visite ….
En conclusion, ces commentaires sont hélas, loin de vous rendre la véritable qualité de ce système hors normes. Je me sens privilégié car c’est la troisième fois que j’ai la chance de vivre cette expérience, en 2007 et 2010 avec certains membres de Mélaudia qui se reconnaîtront sans doute.
Je tiens à remercier Dan pour son efficace coordination pour ces écoutes chez lui, Marcel pour sa disponibilité et son très chaleureux accueil et bien sûr Raoul qui m’a mis en rapport avec Dan.
Gérard
Bonjour à tous
Je viens de ressortir la nouvelle Revue du Son N°190 de septembre 1995 et la seule grosse différence que je vois entre le reportage de 1995 et la visite de samedi est que le nombre de tubes en exposition a singulièrement augmenté....
Le matériel depuis 22 ans a été remplacé mais reste dans la même lignée : sobre, adapté, cohérent. Pas de tape à l'œil.
Marcel ROGGERO a su aussi passer avec succès le risque de "peste numérique", terme qu'il a employé plusieurs fois, et qui lui avait été prédite lors du passage en filtrage actif numérique.
Le filtre DSP ACCUPHASE DF55 qui remplace le filtre passif LCR ne s'avère pas être le moins cher, mais parfaitement adapté à l'usage audiophile. Il n'y a aucun circuit d'écrêteur par exemple ou de compression qui sont inutilisés mais à travers lesquels le signal doit passer comme dans les DSP de sonorisation d’entrée de gamme.
Je n'ajouterai rien à vos appréciations d’écoute, j'ai eu le même ressenti.
Par contre ce sacré CD en a peut-être encore sous le pied ! Bien que les bases du format aient été jetées il y a plus de 30 ans, on a pu apprécier le résultat de lecture (peut être poussé dans son dernier retranchement) réalisé par une bonne machine, sobre, adaptée, cohérente.
Sobre, adapté, cohérent : ça c'est tout Mr ROGGERO !
Jean-Pierre ( http://www.lechauffeurdecathodes.fr ) - juste intervenu pour activer le lien internet, raoul
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Au revoir Marcel/Dan, à votre santé.......!
Nous étions partis ce samedi 17 juin 2017 à l’aube, tels 5 chevaliers de l’audiophilie en quête du Graal, décidés à en découdre avec une installation audio que l’on nous avait présentée comme l’une des meilleures : celle de Monsieur Marcel Roggero…
Mais à l’arrivée, point d’installation détectable par nos oreilles affutées…déception ? Bien au contraire, une invitation VIP à une succession de concerts en direct dans leur environnement naturel !!
Voilà en résumé l’impression générale de cette session d’écoutes mémorable.
Lorsque l’on assiste à un concert de Diana Krall, se pose-t-on des questions sur la qualité de restitution de son timbre de voix et de ses musiciens ? Non ! Ils sont devant nous.
Lorsque l’on assiste à un concert de piano à Pleyel, se pose-t-on des questions sur la qualité de restitution de l’instrument ? Non : nous sommes en direct dans un lieu mythique dédié à la musique.
Lorsque l’on assiste à un concert d’orgues à Notre Dame de Paris, se pose-t-on des questions sur le réalisme de restitution de l’infra grave ? Non !
Nous sommes dans le lieu idéal pour que l’instrument puisse donner le meilleur de lui-même.
Chez Monsieur Roggero, pas de questions inutiles non plus !!
On ne cherche pas à décortiquer le spectre sonore et à qualifier tel ou tel registre de bon, de charnel, de moelleux, de présent ou d’absent, car tout est intégré, tout est à sa place. Système quatre voix, certes, mais au final, un ensemble cohérent parfait avec des recoupements indiscernables de l’extrême grave à l’extrême aigu.
Point de magie ou de chance ici !
Le Maître des lieux nous explique avec grande modestie toute la démarche intellectuelle aboutissant à ce résultat :
L’idée de génie, point de départ de cette installation, est à n’en pas douter la construction d’un auditorium hors pair où tout est calculé, pensé, optimisé. Bien entendu, les dimensions sont très certainement idéales, mais c’est surtout cette intégration de la partie grave dans la maçonnerie avec retour de l’onde arrière dans l’auditorium et décompression extérieure qui force le respect.
Le grave et l’extrême grave s’expriment naturellement et profondément, sans nécessité de monter le volume et sans pression inconfortable sur les tympans.
La partie medium/aigu n’est pas en reste puisque la salle est « polarisée » avec une alternance de surfaces absorbantes faisant front aux transducteurs et des surfaces réfléchissantes dirigées vers la zone d’écoute.
Le réglage minutieux des paramètres fréquences de coupure/niveaux/pentes/phase est très probablement le second élément prépondérant dans la contribution au résultat final. Le filtre numérique Accuphase fait ici des merveilles grâce à un paramétrage affiné au mieux par des mesures.
On a le sentiment que, compte tenu du soin accordé aux deux premiers éléments, local d’écoute et réglages, le choix du matériel, même s’il a fait aussi l’objet d’attentions particulières comme nous l’a expliqué Monsieur Roggero, semble de moindre importance et que d’autres matériels hauts de gamme pourraient aussi s’exprimer de façon idéale.
Un grand merci à Marcel, Dan et Gérard. Oui, les 5 chevaliers ont trouvé le Graal !! Nous savons maintenant qu’il existe une installation qui réalise le rêve après lequel nous courons tous : une invitation au concert à domicile, rien de plus…rien de moins… !
Mais nous n’étions pas au bout de nos surprises et la visite des installations de Dan, atelier et auditoriums, nous ont totalement émerveillés.
Passionnant de voir la naissance de matériels haut de gamme réalisés de façon artisanale, dans le bon sens du terme, avec une totale maîtrise de la technique et mettant en œuvre des idées originales et pertinentes comme le découplage des superbes enceintes sur leur support.
Tous ces matériels sont présentés dans un écrin insolite et magnifiquement restauré, un ancien moulin !
Bravo !!
Bruno
Bonjour amis audiophiles,
Tout l’essentiel a été décrit par Bruno, mais pour ma part j’insisterai sur 2 points :
Le premier est que lorsque je me suis assis face à ces douze 38cm, je me suis dit, on va décoller ! Et en fait il n’en est rien : ce système n’impressionne pas dans ce sens-là, il n’en surajoute jamais, il impressionne pour son Naturel et sa Justesse, uniquement la Vérité, rien plus, rien de moins.
Le deuxième point est que j’ai voyagé pendant près de 3 heures, à chaque prise de son, chaque lieu d’enregistrement. Que ce soit l’orgue d’André Isoir dans une église, un live de Camille au Trianon ou « Orly » de Brel en studio, chaque réverb’, chaque respiration était ressentie et j’étais littéralement projeté d’une salle à une autre faisant face à l’artiste et son instrument. J’aurais pu faire la différence d’un enregistrement absolument identique selon s’il avait été enregistré au Théâtre de Fourvière ou celui de Vienne.
Le jeu des trompettistes laissant le premier plan à Brel était vraiment bluffant. Ils étaient là devant nous, derrière Brel mais grandeur nature.
Rien ne déborde jamais. Aucune tonique, aucune bosse ici ou là. Ce système, pourtant si volumineux, s’efface, s’évapore même pour laisser place à la Musique. C’est dans ce sens-là que ce système est IM-PRE-SSIO-NNANT ! Je vous avouerai même avoir laissé échapper une larme sur la Danse Macabre de Saint Saëns, le dernier morceau que Marcel a choisi en guise de final et que j’ai eu l’opportunité de voir en concert très récemment.
A l’écoute du système de Dan, ce fut cruel pour lui. On ne peut pas passer derrière l’écoute de Marcel Roggero : on repasse inévitablement de l’écoute d’un concert à l’écoute d’un système même si l’on ne peut que reconnaitre que son installation est des plus musicales.
Marcel Roggero nous a transporté ou devrais-je dire téléporté au bout du chemin en atteignant la VERITE. Nous autres amis audiophiles, ne ferons que l’approcher tout au mieux. Il est notre guide et demeurera notre Maître à tous.
On a beaucoup entendu parler des prestigieuses installations Japonaises mais sincèrement, je ne vois pas ce que l’on peut obtenir de mieux que la perfection atteinte par MONSIEUR ROGGERO. Je me sens d’autant plus veinard car je me dis que j’ai probablement entendu la Meilleure Installation Haute-Fidélité au Monde !
Au retour de ce voyage, je me suis empressé de mettre Brel sur ma source pourtant plus prestigieuse que celle de Marcel… Les Trompettistes d’Orly étaient si flous et si petits…
Pour ma part, je vais attendre quelques semaines avant de mettre un deuxième disque et tenter de me nourrir de mauvais sons afin de retrouver des qualités à mon système, peut-être au retour de vacances. Snifffffff !
Encore une fois, il faut en tirer les bonnes leçons et investir au bon endroit. Je suis certain que j’aurai su me contenter de mon système s’il avait bénéficié de l’acoustique de Marcel.
J’attire donc votre attention sur ce point précis car il convient toutefois de tempérer : si Marcel Roggero nous a montré la voie à suivre pour obtenir l’écoute la plus musicale jamais atteinte, ce n’est pas au détriment des sommes déboursées… Pour moi, le système possédant le meilleur rapport musicalité/prix est celui que Jean-Pierre, allias le chauffeur de cathodes a mis au point. Allez donc écouter chez lui, regardez l’acoustique de la pièce dans laquelle il œuvre et demandez-lui donc combien ça lui a coûté. Vous seriez bien étonnés voire même écœurés ! L’ensemble du Club De Haut-Rendement de Lyon ne me contredira pas sur ce point-là, le système de Jean-Pierre est à ce titre aussi vénérable que celui de Marcel Roggero.
Un grand MERCI à Gérard, Dan et tous les intermédiaires qui ont permis de m’offrir le privilège de découvrir cette Installation UNIQUE ! J’en avais toujours rêvé depuis sa première parution dans l’Audiophile et pensais cela impossible à approcher. Comme quoi, il ne faut jamais dire jamais…
Fabien
Bonjour à tous,
Le système de Dan est en perpétuel changement. Le passage en 5 voies permet de descendre très bas. Dans une écoute entièrement dématérialisée c’est important car un nouveau système de codage arrive : le DHD en 1024 (https://dhd.audio/).
Nous avons été fortement impressionnés même si à l’heure actuelle il n’existe que très peu d’enregistrements. Si vous passez vers Cannes et Grasse, n’hésitez pas à lui rendre visite ….
En conclusion, ces commentaires sont hélas, loin de vous rendre la véritable qualité de ce système hors normes. Je me sens privilégié car c’est la troisième fois que j’ai la chance de vivre cette expérience, en 2007 et 2010 avec certains membres de Mélaudia qui se reconnaîtront sans doute.
Je tiens à remercier Dan pour son efficace coordination pour ces écoutes chez lui, Marcel pour sa disponibilité et son très chaleureux accueil et bien sûr Raoul qui m’a mis en rapport avec Dan.
Gérard
Bonjour à tous
Je viens de ressortir la nouvelle Revue du Son N°190 de septembre 1995 et la seule grosse différence que je vois entre le reportage de 1995 et la visite de samedi est que le nombre de tubes en exposition a singulièrement augmenté....
Le matériel depuis 22 ans a été remplacé mais reste dans la même lignée : sobre, adapté, cohérent. Pas de tape à l'œil.
Marcel ROGGERO a su aussi passer avec succès le risque de "peste numérique", terme qu'il a employé plusieurs fois, et qui lui avait été prédite lors du passage en filtrage actif numérique.
Le filtre DSP ACCUPHASE DF55 qui remplace le filtre passif LCR ne s'avère pas être le moins cher, mais parfaitement adapté à l'usage audiophile. Il n'y a aucun circuit d'écrêteur par exemple ou de compression qui sont inutilisés mais à travers lesquels le signal doit passer comme dans les DSP de sonorisation d’entrée de gamme.
Je n'ajouterai rien à vos appréciations d’écoute, j'ai eu le même ressenti.
Par contre ce sacré CD en a peut-être encore sous le pied ! Bien que les bases du format aient été jetées il y a plus de 30 ans, on a pu apprécier le résultat de lecture (peut être poussé dans son dernier retranchement) réalisé par une bonne machine, sobre, adaptée, cohérente.
Sobre, adapté, cohérent : ça c'est tout Mr ROGGERO !
Jean-Pierre ( http://www.lechauffeurdecathodes.fr ) - juste intervenu pour activer le lien internet, raoul
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Au revoir Marcel/Dan, à votre santé.......!
@mitiés, GéBé.
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