02/05/2015-09:47:31
(Modification du message : 02/05/2015-09:48:24 par Dominique-Tanguy.)
RE: Kits Kaneda
Kaneda 224 - Kaneda 172 - DAC Dangerous Source - Carte USB/SPDIF EDEL
Premier compte-rendu d'écoute.
Sélection de disques Mélaudia habituels, dont les incontournables tambours chinois...
On a d'abord écouter le 224 sur la seule entrée numérique SPDIF qui fonctionne. Réglage de volume délicat car trop de gain. Le registre des basses attire tout de suite l'attention, mais Bruno confirme mon impression qu'on ne retrouve pas le côté soyeux du 172 (et du 209).
On passe donc au 172, contrôlé depuis mon préampli Dangerous Source. Changement de décor ! On retrouve ce qui manquait dans les voix ! Un petit coup de tambour et là, zut, ça le fait plus. Le 172 ne tient pas devant le 224. Grosse différence... et dans mon souvenir, le 209 sur pile faisait encore moins bien. Le 224 a vraiment une autorité spectaculaire dans ce registre, le raccordement avec le sub est parfait, alors qu'on s'en comme un trou avec le 172.
Pour écouter le 224 en ampli seul, il faut régler le problème de l'adaptation d'entrée IVC en soudant deux résistances en série (Bruno a amené une paire de 2.2 K). Les photos publiées avant montre l'artiste en action).
On rebranche le tout et... On fait sauter les plombs. Heureusement que j'avais changé les piles de mon pacemaker avant le bricolage, car j'ai d'abord cru qu'on avait flingué le préampli...
On a donc comparé le 224 et le 172 avec le même DAC et le même préampli, et là, les deux sonnent de manière quasi identique. Le 224 retrouve le médium aigu du 172, les basses semblent correctes.
Par acquis de conscience, on a refait un essai avec le DAC du 224 et son étage de sortie adapté.... Pour démonter sa supériorité absolue dans le registre grave. la différence est quand même spectaculaire.
Donc, le DAC, ou plus certainement, l'étage de sortie du DAC, fait la différence...
par contre, le médium aigu est plus sec, plus "transistor".
Je peux facilement passer d'une configuration à l'autre, mais Bruno, comme moi, pensons que globalement, la solution intégrée donne les meilleures performances.
Reste à régler le problème du sélecteur et de la ronflette. Le transfo vibre beaucoup, ce qui est étrange pour un Rcore...
Bruno rentre chez lui ce soir et nous donnera son avis peut-être demain...
Cordialement,
Dominique T
Premier compte-rendu d'écoute.
Sélection de disques Mélaudia habituels, dont les incontournables tambours chinois...
On a d'abord écouter le 224 sur la seule entrée numérique SPDIF qui fonctionne. Réglage de volume délicat car trop de gain. Le registre des basses attire tout de suite l'attention, mais Bruno confirme mon impression qu'on ne retrouve pas le côté soyeux du 172 (et du 209).
On passe donc au 172, contrôlé depuis mon préampli Dangerous Source. Changement de décor ! On retrouve ce qui manquait dans les voix ! Un petit coup de tambour et là, zut, ça le fait plus. Le 172 ne tient pas devant le 224. Grosse différence... et dans mon souvenir, le 209 sur pile faisait encore moins bien. Le 224 a vraiment une autorité spectaculaire dans ce registre, le raccordement avec le sub est parfait, alors qu'on s'en comme un trou avec le 172.
Pour écouter le 224 en ampli seul, il faut régler le problème de l'adaptation d'entrée IVC en soudant deux résistances en série (Bruno a amené une paire de 2.2 K). Les photos publiées avant montre l'artiste en action).
On rebranche le tout et... On fait sauter les plombs. Heureusement que j'avais changé les piles de mon pacemaker avant le bricolage, car j'ai d'abord cru qu'on avait flingué le préampli...
On a donc comparé le 224 et le 172 avec le même DAC et le même préampli, et là, les deux sonnent de manière quasi identique. Le 224 retrouve le médium aigu du 172, les basses semblent correctes.
Par acquis de conscience, on a refait un essai avec le DAC du 224 et son étage de sortie adapté.... Pour démonter sa supériorité absolue dans le registre grave. la différence est quand même spectaculaire.
Donc, le DAC, ou plus certainement, l'étage de sortie du DAC, fait la différence...
par contre, le médium aigu est plus sec, plus "transistor".
Je peux facilement passer d'une configuration à l'autre, mais Bruno, comme moi, pensons que globalement, la solution intégrée donne les meilleures performances.
Reste à régler le problème du sélecteur et de la ronflette. Le transfo vibre beaucoup, ce qui est étrange pour un Rcore...
Bruno rentre chez lui ce soir et nous donnera son avis peut-être demain...
Cordialement,
Dominique T