Sébastien,
Les schémas des N°209 et N°228 ont effectivement des similitudes, et les puissances ainsi que les tensions d'alimentation sont quasiment identiques.
Mais outre le fait que le transistor de l'un est un silicone et l'autre un carbure de silicon, ou SIC. Il existe de nombreuses différences dans le schéma de ces amplis.
La plus importante est la façon dont le signal rentre dans l'ampli. Si tu regardes les deux schémas, tu vas trouver que la spécificité du N°228, et de tous les IVC, est très surprenante. En effet, l'entrée et la sortie sont seulement séparées par une résistance. Par ailleurs, il n'y a aucune résistance de fuite en entrée.
Cela donne un régime d'impédance très différent de l'habituel, avec une impédance d'entrée très faible. Et donc l'obligation de connecter les IVC entre eux pour éviter forts bruits de fond, pertes de puissance et bande passante tronquée. ( ce qui se passe lorsque Dominique connecte directement un préampli ou un DAC non IVC sur l'entrée de l'ampli N°224 sans ajouter de résistance série pour l'adaptation)
Au delà de ça, le N°209, bien que de puissance modeste, reste vraiment hors norme sur tous les registres, y compris dans le grave, alors que le N°228 est réservé à une utilisation sur les voies supérieures, secteur dans lequel il est vraiment extraordinaire, même si A. Kaneda fait peut-être encore mieux avec ses tous derniers hybrides WE421 présentés récemment à Tokyo.
Cdt
Gilles
Les schémas des N°209 et N°228 ont effectivement des similitudes, et les puissances ainsi que les tensions d'alimentation sont quasiment identiques.
Mais outre le fait que le transistor de l'un est un silicone et l'autre un carbure de silicon, ou SIC. Il existe de nombreuses différences dans le schéma de ces amplis.
La plus importante est la façon dont le signal rentre dans l'ampli. Si tu regardes les deux schémas, tu vas trouver que la spécificité du N°228, et de tous les IVC, est très surprenante. En effet, l'entrée et la sortie sont seulement séparées par une résistance. Par ailleurs, il n'y a aucune résistance de fuite en entrée.
Cela donne un régime d'impédance très différent de l'habituel, avec une impédance d'entrée très faible. Et donc l'obligation de connecter les IVC entre eux pour éviter forts bruits de fond, pertes de puissance et bande passante tronquée. ( ce qui se passe lorsque Dominique connecte directement un préampli ou un DAC non IVC sur l'entrée de l'ampli N°224 sans ajouter de résistance série pour l'adaptation)
Au delà de ça, le N°209, bien que de puissance modeste, reste vraiment hors norme sur tous les registres, y compris dans le grave, alors que le N°228 est réservé à une utilisation sur les voies supérieures, secteur dans lequel il est vraiment extraordinaire, même si A. Kaneda fait peut-être encore mieux avec ses tous derniers hybrides WE421 présentés récemment à Tokyo.
Cdt
Gilles
Sébastien a écrit :Bonjour Gilles, bonjour à tous,
Hier, j'étudiais les schémas des Kanéda 209 et 228. Ai-je raison de dire que ces deux appareils sont similaires, même quasiment identiques, et que la principale différence réside dans l'utilisation de la nouvelle génération de transistors SCTMU001 dans le 228?
De plus, le 228 est de la génération IVC. Tu as souvent dit que ceux-ci était plus difficile à mettre en œuvre dans un système qui n'est pas tout IVC à cause de leur basse impédance. Cela se manifesterait comment si on insère un tel ampli dans un système qui n'est pas tout IVC? J'aimerais comprendre davantage les limitations.
Merci,
Sébastien
Cordialement
Gilles
Mon système : de la musique, et quelques bricoles pour l'écouter...
Gilles
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