16/01/2014-22:09:08
RE: système GOTO chez Klaus
Bonsoir à tous,
Voici les impressions que j'ai retenues de cette écoute.
En arrivant, je me mets sur mes gardes en découvrant le gigantisme de l'installation :
- la taille de la pièce, 100m2 c'est le plus grand auditorium privé que je n'avais jamais vu
- le nombre de voies, cinq voies actives, jusqu'alors, je m'étais arrêté à quatre
- l'envergure spatiale du système de reproduction
Au fur et à mesure de l'écoute, force est de constater la bonne cohérence du système. Aucun transducteur ne joue seul dans son coin.
Je n'ai pas été gêné par l'absence de calage temporel, ni physiquement (impossible avec la longueur des pavillons de bas-grave), ni électroniquement (le filtre séparateur est analogique). Je pense que je suis moins réceptif sur ce critère.
Les timbres sont superbes d'un bout à l'autre du spectre. C'est dynamique sans exagération.
Une belle écoute "globale" comme j'aime. Défini et analytique juste ce qu'il faut. Aucun registre ne prend le pas sur les autres.
Après les éloges, un petit bémol.
Sur "Beautiful love" - Shirley Horn, la petite formation s'étale trop en largeur. Attention, la voix comme les instruments gardent leur juste dimension, c'est juste qu'ils se sont éloignés les uns des autres, la scène est beaucoup plus large qu'à l'accoutumée. Un peu trop.
C'est la rançon de l'étalement vertical des pavillons. La solution pourrait être de superposer les pavillons de grave et de bas-grave, pour resserrer la surface de restitution ?
En tout cas un système original et ambitieux qu'il fallait oser. Bravo Klaus.
a+mitiés raoul
Voici les impressions que j'ai retenues de cette écoute.
En arrivant, je me mets sur mes gardes en découvrant le gigantisme de l'installation :
- la taille de la pièce, 100m2 c'est le plus grand auditorium privé que je n'avais jamais vu
- le nombre de voies, cinq voies actives, jusqu'alors, je m'étais arrêté à quatre
- l'envergure spatiale du système de reproduction
Au fur et à mesure de l'écoute, force est de constater la bonne cohérence du système. Aucun transducteur ne joue seul dans son coin.
Je n'ai pas été gêné par l'absence de calage temporel, ni physiquement (impossible avec la longueur des pavillons de bas-grave), ni électroniquement (le filtre séparateur est analogique). Je pense que je suis moins réceptif sur ce critère.
Les timbres sont superbes d'un bout à l'autre du spectre. C'est dynamique sans exagération.
Une belle écoute "globale" comme j'aime. Défini et analytique juste ce qu'il faut. Aucun registre ne prend le pas sur les autres.
Après les éloges, un petit bémol.
Sur "Beautiful love" - Shirley Horn, la petite formation s'étale trop en largeur. Attention, la voix comme les instruments gardent leur juste dimension, c'est juste qu'ils se sont éloignés les uns des autres, la scène est beaucoup plus large qu'à l'accoutumée. Un peu trop.
C'est la rançon de l'étalement vertical des pavillons. La solution pourrait être de superposer les pavillons de grave et de bas-grave, pour resserrer la surface de restitution ?
En tout cas un système original et ambitieux qu'il fallait oser. Bravo Klaus.
a+mitiés raoul