Quand j'étais petit, la hifi ne m'intéressait pas.
Mon premier contact avec la hifi audiophile a lieu en 1978-79, chez CTA, un magasin parisien. Ce fut à l'écoute des PHONOPHONE G1 où j'ai entendu un ELECTROCOMPANIET classe A 25W (j'ai oublié le préampli qu'il y avait devant) écrabouiller un ensemble ampli/préampli YAMAHA (C2/A2 me semble-t-il) deux ou trois fois plus puissant.
J'ai passé les années suivantes à écumer les magasins parisiens, et les divers salons et festivals du son.
Le choc suivant se produit au salon de 1984 (Sofitel Balard), devant le système ONKEN présenté par La Maison de l'Audiophile.
Je me souviens encore du mouvement de recul quand a été joué l'enregistrement d'une locomotive à vapeur. J'étais au premier rang et j'avais la sensation physique que le train allait me rouler sur les orteils !
D'année en année, je me suis forgé l'opinion que non seulement le système ONKEN était le meilleur système pour reproduire les bruits de trains, fermeture de portes de garage, hélicoptères et autres bris de verre, mais que c'était aussi celui qui avait le plus d'atouts pour reproduire et approcher au plus près la musique pour de vrai (ça vaut en tout cas pour la musique que j'aime).
À partir des années 1988-89, j'avais décidé que pour moi, ça sera un système de type ONKEN W 4 voies, sinon rien.
Au cours de l'année 1996*, l'occasion m'est donnée d'acquérir une partie des composants d'un système que son propriétaire démentelait : voies grave et aigu, filtre passif. La voie médium a suivi quelques mois après.
Je savais ne pas avoir la place pour installer un tel système chez moi à court ou moyen terme, mais, mon objectif étant fixé, j'avais décidé de rassembler les éléments de mon système-cible à mesure où je les trouvais sur le marché de l'occasion.
En attendant, il fallait quand même écouter de la musique et autant que possible, exploiter le matériel disponible. J'ai donc entrepris de trouver des Voix du Théatre que je pensais suffisamment logeables. Elles ne sont restées que quelques mois, pour cause d'incompatilité domestique, pour être remplacées par des caisses bass-reflex.
Mon premier contact avec la hifi audiophile a lieu en 1978-79, chez CTA, un magasin parisien. Ce fut à l'écoute des PHONOPHONE G1 où j'ai entendu un ELECTROCOMPANIET classe A 25W (j'ai oublié le préampli qu'il y avait devant) écrabouiller un ensemble ampli/préampli YAMAHA (C2/A2 me semble-t-il) deux ou trois fois plus puissant.
J'ai passé les années suivantes à écumer les magasins parisiens, et les divers salons et festivals du son.
Le choc suivant se produit au salon de 1984 (Sofitel Balard), devant le système ONKEN présenté par La Maison de l'Audiophile.
Je me souviens encore du mouvement de recul quand a été joué l'enregistrement d'une locomotive à vapeur. J'étais au premier rang et j'avais la sensation physique que le train allait me rouler sur les orteils !
D'année en année, je me suis forgé l'opinion que non seulement le système ONKEN était le meilleur système pour reproduire les bruits de trains, fermeture de portes de garage, hélicoptères et autres bris de verre, mais que c'était aussi celui qui avait le plus d'atouts pour reproduire et approcher au plus près la musique pour de vrai (ça vaut en tout cas pour la musique que j'aime).
À partir des années 1988-89, j'avais décidé que pour moi, ça sera un système de type ONKEN W 4 voies, sinon rien.
Au cours de l'année 1996*, l'occasion m'est donnée d'acquérir une partie des composants d'un système que son propriétaire démentelait : voies grave et aigu, filtre passif. La voie médium a suivi quelques mois après.
Je savais ne pas avoir la place pour installer un tel système chez moi à court ou moyen terme, mais, mon objectif étant fixé, j'avais décidé de rassembler les éléments de mon système-cible à mesure où je les trouvais sur le marché de l'occasion.
En attendant, il fallait quand même écouter de la musique et autant que possible, exploiter le matériel disponible. J'ai donc entrepris de trouver des Voix du Théatre que je pensais suffisamment logeables. Elles ne sont restées que quelques mois, pour cause d'incompatilité domestique, pour être remplacées par des caisses bass-reflex.