02/03/2012-09:14:32
(Modification du message : 05/03/2012-19:03:10 par jeanmichellcl.)
rta on utioise
Bonjour,
J'ai utilisé les deux méthodes de mesure des paramètres de Thiele et Small à partir des courbes d'imépdance :
1) méthode de l'enceinte close
2) méthode de la masse additionnelle.
Les deux pour donner des résultats utilisables doivent correspondre à un dépacement significatif de la fréquence de résonance par rapport à sa valeur "à l'air libre".
Dans le cas d'une masse additionelle, la fréquence de résonance s'abaisse alors que dans le cas d'une enceinte close la fréquence de résonance augmente. Il est recommandé que la variation de fréquence soit significative (au moins 20%, je conseille de viser 25% à 30%)
Bien entendu, avec la méthode de la masse additionelle, si on constate après une première mesure que la variation de la fréquence de résonance ne dépasse pas 20% alors il est facile de rajouter une petite masse suplémentaire et de refaire la mesure. Par contre avec la méthode de l'enceinte close c'est beaucoup plus difficile, à moins d'avoir une boîte avec une face arrière déplaçable à l'intérieur de la boîte.
Une autre chose importante à considérer, c'est que suivant le niveau du signal envoyé à la bobine, la valeur de Qts (Qes en réalité) va varier car sur fort signal en bout d'élongation la bobine nage dans un champ magnétique plus faible (on dit qu'elle commence à sortir du champ).
Sur faible signal on mesure souvent un Qts plus grand.
Ainsi quand avec Arta on utilise comme signal de mesure le bruit rose (PN = Pink NOise) alors on remarque que le Zmax de la courbe d'impédance monte plus haut qu'avec la méthode du balayage logarithmique de fréquence (voir le graphique ci-joint). Conjointement, le Qts diminue. C'est parce qu'avec Arta, la densité spectrale du signal dans une même bande de fréquence est plus faible en bruit rose qu'en balayage de sinus.
Cordiales salutations,
Jean-Michel Le Cléac'h
J'ai utilisé les deux méthodes de mesure des paramètres de Thiele et Small à partir des courbes d'imépdance :
1) méthode de l'enceinte close
2) méthode de la masse additionnelle.
Les deux pour donner des résultats utilisables doivent correspondre à un dépacement significatif de la fréquence de résonance par rapport à sa valeur "à l'air libre".
Dans le cas d'une masse additionelle, la fréquence de résonance s'abaisse alors que dans le cas d'une enceinte close la fréquence de résonance augmente. Il est recommandé que la variation de fréquence soit significative (au moins 20%, je conseille de viser 25% à 30%)
Bien entendu, avec la méthode de la masse additionelle, si on constate après une première mesure que la variation de la fréquence de résonance ne dépasse pas 20% alors il est facile de rajouter une petite masse suplémentaire et de refaire la mesure. Par contre avec la méthode de l'enceinte close c'est beaucoup plus difficile, à moins d'avoir une boîte avec une face arrière déplaçable à l'intérieur de la boîte.
Une autre chose importante à considérer, c'est que suivant le niveau du signal envoyé à la bobine, la valeur de Qts (Qes en réalité) va varier car sur fort signal en bout d'élongation la bobine nage dans un champ magnétique plus faible (on dit qu'elle commence à sortir du champ).
Sur faible signal on mesure souvent un Qts plus grand.
Ainsi quand avec Arta on utilise comme signal de mesure le bruit rose (PN = Pink NOise) alors on remarque que le Zmax de la courbe d'impédance monte plus haut qu'avec la méthode du balayage logarithmique de fréquence (voir le graphique ci-joint). Conjointement, le Qts diminue. C'est parce qu'avec Arta, la densité spectrale du signal dans une même bande de fréquence est plus faible en bruit rose qu'en balayage de sinus.
Cordiales salutations,
Jean-Michel Le Cléac'h